Liens : Nom : KITSU
Prénom : KISAKA
Pseudonyme : aucun
Age : âge étant humain : 32 ans
âge de sa mort : 8 ans
Genre: Shinigami
Grade désiré(division/etc) :Tous sauf 4, 6, 11 et 12 si possible. Ces divisions ne pourraient pas, ou difficilement, coller avec mon personnage et le Rp que je veux en faire.
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Description Physique : Kisaka a toujours une posture très droite, ce qui rajoute une dimension de grandeur à son mètre quatre-vingt-dix. Sa morphologie corporelle est dans les normes ; pas de muscles protubérants mais une puissance certaine du à sa taille, à l’âge auquel il est mort et à son métier (police d’état).
Son visage est relativement bien proportionné, mais commence à être marqué par le temps, sans porter pour autant de rides profondes. Ses yeux bleus sont assez sombres pour passer inaperçu au détour d’un regard, sa peau est d’un teint foncée sans être bronzée. Seuls ses cheveux pourraient attirer le regard, s’ils n’étaient pas partiellement cachés par un ruban gris claire, couleur de son kimono. Il est rasé sur le côté gauche, du haut du front jusqu’en bas en excluant l’arrière du crâne. Le reste de ses cheveux sont mi long ce qui lui permet d’arborer un petit chignon quand bon lui semble. Son nez est long et fin et sa joue gauche est marquée d’une cicatrice allant du sommet de son oreille jusqu’à la moitié de sa mâchoire. Cette dernière est musclé et arrondie finissant sur un menton carré sans fossette.
Coté performance athlétique, la rapidité n’étant pas son atout principale, il y remédie lentement à force d’entrainement. C’est son endurance qui le distingue généralement de ses coéquipiers ; capable de courir de longues distances et d’enchainer un combat en pleine possession de ses moyens.
Sa tenue vestimentaire reste très sobre ; un kimono gris clair porté de façon large, caché par une sorte de long manteau gris foncé sans manche allant du haut du cou jusqu’au milieu des mollets. Pas de fioriture, pas d’armoirie ni d’emblème tape-à-l’œil. La seule chose qui le distingue en tant que Shinigamis est son Zanpakuto attaché au côté droit de sa ceinture (gaucher raison de RP).
Description Morale : Sa tenue vestimentaire et corporelle est le reflet de son âme : intègre et droit. Il met un point d’honneur à faire respecter la loi. Il protège les plus faible sans pour autant les couver ou intervenir dans leur quotidien. Pour lui, chaque homme ou âme est l’égale de la sienne et il exècre ceux qui se disent noble ou de valeur supérieur. L’injustice est ce qui lui fait sortir sa lame.
Dans l’ordre de ses priorités, la justice passe avant tout et rentre parfois en conflit avec certaines stratégies militaires, ce qui lui cause de grands torts à coup sûr.
Une tirade qu’il répète assez souvent le caractérise assez bien : « face à la justice ou aux portes du paradis, dire : `j’ai fait cela parce qu’on me l’a ordonné` où `Parce qu’on m’y a obligé` ne suffira pas. Tu es seul gardien de ton âme ».
KISAKA n’est pas de nature bavarde mais n’hésite pas à prendre la parole pour les sujets qui lui tiennent à cœur. Discret dans son comportement, il cherche, sans pour autant se l’avouer, un compagnon ou un capitaine en qui croire et qui serait en total adéquation avec sa façon de voir le monde.
N’étant faignant d’aucune sorte, quand il ne passe pas son temps dans des missions ou à prêter son aide à tout-un-chacun, il s’entraine dur. Il n’y a pas beaucoup de place pour la détente dans son emploi du temps. C’est en partie pour cela qu’il effectue un pèlerinage plus ou moins long, deux fois par an, afin de méditer sur le monde et sur lui-même.
Malgré une tendance solitaire, il aime échanger avec les autres car c’est pour lui, source inépuisable de d’évolution.
Son principal défaut : Têtu
Son avis sur le Gotei 13 n’est pas tranché, ce qui lui cause également des soucis, car des individus qu’il estime indignes occupent des places importantes. Il se cache cependant bien, vue son jeune âge en tant qu’âme, de le crier sur les toits.
Son engagement est total, au combat comme dans la vie du Gotei 13. Il n’hésite pas à se mêler de la vie politique de son monde et va même, durant son temps libre, dans des endroits reculés et pauvres pour y apporter son aide en tant qu’âme anonyme. D’ailleurs, certaines âmes le connaissant ne savent même pas qu’il est Shinigamis. C’est par un travail noble, sans prétention et ardu que l’âme s’élève.
Kisaka, de son vivant, croyait en une vie après la mort, paradis ou non, mais la découverte du Seireitei à la suite de sa mort le marqua profondément. En effet, pour lui, il était maintenant clair que la notion de vie ou de mort n’avait une incidence que sur le monde ou dimension dans lequel il évolue et aucunement sur les âmes en générale : si à sa mort, son âme a changé de dimension une première fois, pourquoi en serait-il autrement maintenant qu’il est Shinigamis ?
Histoire : Chapitre 1
Citoyen lambda, il a grandi comme fils unique dans une famille modeste. Toute sa vie d’enfant s’est déroulé au rythme du travail de son père, juge à la cour : parsemé de déménagement et de changement d’école, soit pour des raisons pratiques soit pour des raisons de sécurité. Il a toujours vécu dans un environnement relativement protégé et a reçu les valeurs qui sont celles d’un père juge et d’une mère issu des quartiers pauvres ayant connu nombres de difficultés.
Il était très proche de ses parents, plus de sa mère protectrice que de son père, plus sévère et plus souvent absent. Cependant, il vouait un vrai culte à son père et l’accompagné avec envie à son bureau quand travailler le week-end se faisait nécessaire.
Le système juridique humain permet à tout un chacun d’être représenté par un avocat afin d’être égaux en face à la loi et à son interprétation. Toutefois, les hommes les plus abjects sont souvent les plus riche et se permettent, non seulement de se payer un avocat ou deux, mais parfois même un juge ou des jurés. C’est dans ce cadre-là que la vie de Kisaka prit fin…
Réveil difficile le lendemain de ses 32 ans. Certains diraient l’alcool ou la fatigue, Kisaka lui pense vieillesse… et puis non, alcool et fatigue. Il est environ 13h30 ce mardi particulièrement bien anticipé, puisqu’en congé, se doutant de la « surprise » que ses amis et collègues lui avaient préparé pour son anniversaire et sa promotion.
Kisaka est passé inspecteur générale dans la police d’état il y a deux jours. C’est son envie de faire bouger les choses qui l’avait motivé à prendre du grade.
Encore dans son lit à somnoler, il pense à ce poste qu’il vient d’obtenir et se dit que le chemin parcouru n’a pas été si simple depuis sa sortie de l’école de police à ses 24 ans. Il avait dans la tête de passer inspecteur pour avoir plus d’influence et d’impact dans la vie de ses concitoyens et ainsi améliorer plus concrètement leur quotidien. Il avait hâte de commencer…
S’asseyant sur le bord de son lit, il se met à sourire en pensant à la situation qui est la sienne : un père juge et lui inspecteur : ‘Ca ressemble à une mauvaise série française tout ça’. Puis, une fois le visage passé dans ses mains, il se lève.
Programme de la journée : pains au chocolat pour le « petit déjeuné » de 13h50, rendez-vous avec la banquière, vers 15h00, et enfin, visite aux parents qui s’ennuient de leur fils unique.
14h23, notre homme termine de se préparer, le mental remonté à son maximum. 14h31, il part de son appartement pour l’agence bancaire principal située au centre-ville. Après 20 minutes de bus, le voilà débarquant devant l’accueille de l’agence en avance de 5 minutes tout au plus. 5 minutes qui vont faire la différence…
Deux jours plus tôt, son père siégeait dans l’une des salles du parquet. Rien de bien spéciale pour lui aujourd’hui, mais dans l’une des salles adjacentes, une affaire plus particulière se juge : un homme est accuser d’avoir braqué une série de bijoutier pour le compte du grand banditisme. Une « petite frappe » comme on l’appelle dans le métier. Cet homme est défendu par un avocat anonyme, commis d’office sans grand talent pensait l’avocat représentant le syndicat des bijoutiers et le procureur. A juste titre d’ailleurs. Cependant, le mal ne vint pas de l’avocat du malfrat, mais du juge, grassement payé par l’employeur du bandit afin de le faire condamné à une amende et de la prison avec sursis. Traduction : libre immédiatement. Ce qui se passa, le tout sous des cris vigoureux de la partie civile et des bijoutiers venu assister à la séance. Le calme revenu, le suspect s’est vu lire ses obligations et libéré. Il put ainsi retourner à ses affaires, sans oublier de passé remercier son « patron »....
Chapitre 2 _
« Bonjour madame, j’ai rendez-vous à 15h15, je suis Mr Kitsu. _
Très bien monsieur, rétorque la secrétaire, veuillez-vous assoir ici. Je vais prévenir de votre arriver ».
Le jeune homme s’exécute. Mais il n’eut pas longtemps à attendre avant que sa banquière ne vienne le chercher.
La discussion allait s’engager quand soudain, une alarme stridente provenant du sas de sécurité se mit à retentir. Dans la tête de Kisaka, seules deux éventualités se présentent ; 1 : défaillance du système, 2 : détection d’une masse métallique dépassant le poids moyen autorisé. Poids correspondant généralement à une arme à feux. Il tourna la tête vers l’entrée. Un coup de feu. Les vitres du sas se brisent et laisse entrer 3 personnages cagoulés. Eventualité 2.
Les cris des clients comme des employés se font entendre. C’est la panique générale. Deux des braqueurs foncent vers les coffres, au fond, pendant que le troisième crie : « Tout le monde à terre ! ». Ce que les gens furent.
A ce moment-là, Kisaka ne peut rien faire. Il ne peut être que spectateur des évènements. A-t-il le choix sans son arme de service ? Il se contente donc, en chuchotant, de rassurer les personnes proches de lui. La tension est vive et palpable. Pendant que les coffres se vident, l’homme avec le révolver déambule avec stress entre les personnes à plat ventre. Quatre minutes se sont écouler, plus que trois avant que les collègues de Kisaka débarquent, informé par une alarme silencieuse se déclenchant automatiquement dès qu’une vitre se brises.
Le troisième homme part dans la précipitation rejoindre ses complices pour les aider à charger les sacs. Quelques secondes se passent. Quand d’un seul coup, une femme, paniquée, allongée au milieu de la salle, se lève et se dirige vers la sortir, tentant ainsi d’échapper aux ravisseurs. Malheureusement, l’un des hommes s’en aperçoit immédiatement et court dans sa direction. Il l’attrape violemment par les cheveux et la jette en arrière contre le comptoir de l’accueil. La femme se met à hurler. La tension monte d’un cran.
Prit dans sa frénésie et par les évènements, l’homme se met à trépigner sur place. Une, deux… puis, trois secondes s’écoulent avant que sa main armé ne se lève en direction de la jeune femme. Heureusement s’est trois secondes suffirent pour Kisaka pour évaluer la décision qu’allait être celle du braqueur. Il se lève d’un bond et vient s’interposer entre les deux protagonistes. Le coup part.
Tout d’abord, c’est l’incompréhension qui gagna Kisaka. L’incompréhension d’un corps qui ne veut plus lui obéir. Puis les muscles qui se relâchent ; il s’écroule. Le sang se met à s’échapper de sa poitrine. La respiration se fait difficile. Il relève les yeux vers le tireur. Il ne peut qu’assister, sourd, à cette scène. L’homme reste fixer face à lui, le regard noir. Ses deux complices lui passent derrière en lui signalant d’une tape sur l’épaule qu’il est temps de partir. L’homme s’attarde, comme pour contempler son œuvre, puis sort à son tour. Le silence se fait lourd. Le froid aussi. Des gens s’agitent. Les images défilent. Puis le noir.
Chapitre 3 Le ciel est bleu et la température agréable. Une journée comme une autre ici. Cela fait 2 ans que Kisaka s’est réveillé nu, au milieu de ce monde qu’est le Rukongai. Complètement perdu, comme pour chaque âme arrivant ici. A son grand bonheur, il ne se passa pas beaucoup de temps avant qu’une âme charitable ne vienne à sa rencontre et ne lui explique ce qu’il lui arrivait. Son apprentissage des règles de ce monde ne fut pas long et Kisaka pris rapidement sa place dans la famille pauvre de celui qui l’avait trouvé. Il menait donc sa vie dans l’un des secteurs à numéro élevé du Rukongai, pensant quotidiennement à son ancienne vie et à ses parents. Mais le temps ne fut pas long avant que sa nature et son envie de changer les choses ne reprennent le dessus. Il se mit donc au service de son village. Ses aptitudes au combat à mains nue lui permirent de se sortir de nombre de situations délicates, mais également de mettre un terme à quelques évènements « anormaux » pourrissant la vie des honnêtes gens du village. Cependant, cela n’était pas suffisant pour lui. Il aspirait à autre chose...
Et ces donc, encore une fois, après nombres d’efforts, qu’il put entrer à l’Académie de formation des Shinigamis.
Cette période de formation lui rappela, dans les grandes lignes, son passage à l’école de police, pas si lointaine que cela. Il n’eut donc aucun mal à se replonger dans la théorie. Quant à la pratique, son mental comme son corps avait l‘habitude de ce genre de test et d’entrainement intensif. Il n’en fut pas différemment pour son âme.
Durant sa formation, il ne trouva pas franchement d’ami ou de personne avec qui se lier d’amitié, ses collègues étant majoritairement plus jeune que lui… beaucoup plus jeune. C’est donc en solitaire qu’il passa les tests les uns après les autres et fut reçu.
Malgré le rythme des entrainements et des missions données aux Shinigamis débutants, Kisaka trouvait et trouve toujours le temps d’aller aider les membres de sa famille d’accueil dans ses travaux de tous les jours. D’ailleurs, dans le village, personnes, à part eux, ne savent qu’il est devenu Shinigamis. Et cela lui convient tout à fait.
C’est lors de sa troisième mission sur terre qu’il put enfin trouver le temps d’aller rendre visite à ses parents. Plus de 3 ans après sa mort. Visite à sens unique puisque, en tant qu’âme, il reste invisible pour ses parents. Cette dernière fut assez courte mais plein d’enseignements.
C’était un soir d’automne, un de ces soirs où son père avait pu finir le travail plus ou moins à l’heure et être rentrer pour le diner. Un diner silencieux mais pas morbide. L’amour que ses parents avaient l’un pour l’autre les aidaient et les aident toujours à tenir bon et à s’accrocher à la vie. Si seulement ils savaient, se disait-il.
C’est en remarquant un coupe d’un journal encadré sur le rebord de la cheminé, que Kisaka appris la circonstance de sa mort. L’homme relâché avec sursis et une amande dû, en contre partie de sa libération, effectuer le braquage de la banque dans laquelle Kisaka se trouvait le jour de sa mort. Le suspect de son meurtre était d’ailleurs cet homme-là. D’après les informations du journaliste, c’est son père qui devait se charger du procès. Mais, conformément à la loi, l’affaire a été confiée à un autre juge, amis et collègues de confiance de son père, le jour où les autorités se sont aperçu que le défunt n’était autre que le fils du juge.
Un article plus récent, encadré juste à côté de celui-ci, indique quant à lui la condamnation de son meurtrier à la perpétuité et la mise en examen du juge qui l’avait laissé partir libre quelques jours précédant le braquage.
La visite terminé, il se mit à réfléchir longuement et se jura de protéger les gens contre toute forme d’injustice, quelle vienne de personnes malhonnêtes ou d’un appareille judiciaire quel qu’il soit. C’est ce jour-là qu’il découvrit le nom de son Zanpakuto.
Test RP : -------------------
Description de l'arme ou du pouvoir : A l’académie comme après, Kisaka se pencha principalement sur la maitrise de son Zanpakuto et sur les techniques de Bakudô, délaissant le Hadô (Il maitrise cependant les techniques de base nécessaire aux passages des tests de l’académie.).
En forme scellé, la lame de son Zanpakuto est commune et la garde, composer de deux branches métalliques, est en parfaite horizontalité. Seule sa poigner se distingue par une sculpture renversé de type antiquité représentant deux femmes, têtes en bas, habillées d’un léger drap blanc.
En forme Shikai, libéré par les mots « Jugez, sœurs, balance de justice », les sculptures des deux femmes se détachent de la poignée est tombent, retenue, chacune d’elle, par une chainette d’une quinzaine de centimètre.
Deux technique de combat s’offre alors à lui :
Technique 1 : « La protection des innocents » : Kisaka tire sur la sculpture de droite, cassant la chainette. La sculpture se transforme en bouclier rond de 60 cm de diamètre et la chaine se re-matérialise dans son dos, épaissi et agrandi, liant ainsi les deux partie de son Zanpakuto.
Technique 2 : « le châtiment des coupables ». Kisaka, tire sur la seconde statuette, redonnant la forme initiale à la première et se transformant à son tour, mais cette fois en une seconde épée, identique au Zanpakuto initial et chainée à ce dernier.
Kisaka peut lancer ses techniques dans l’ordre de son choix et les alterner au cours d’un même combat.
Style de combat :
Kisaka peut projeter une des parties de son Zanpakuto et la ramener à lui en tirant sur la chaine via sa seconde partie. La chaîne n'étant pas extensible, la portées de ces attaques ne dépasse pas la dizaine de mètres.
Il peut également utiliser son pouvoir de "L'attraction de justice" pour ramener la totalité de son Zanpakuto en cas de projection des deux parties en même temps.
Pouvoirs :
_ "l'Attraction de justice" : Kisaka peut concentrer sa pression spirituelle dans ses mains pour faire revenir son Zanpakuto quand il le lance.
_ "L'équilibre de la balance" (passif) : chaque coup reçu par le bouclier renforce l'attaque mais diminue la résistance de ce dernier qui peut finir par s'effriter et revenir à son état de statuette. Si tel est le cas, Kisaka, n'a plus que le choix que d'utiliser la seconde statuette le temps que la première se répare et reprenne de la puissance.
De même, si Kisaka use trop de ses deux épées, elles perdent de leur puissance au bénéfice du bouclier.
Ce pouvoir est basé sur le fait que la justice doit autant protéger que punir. La puissance générale de Kisaka tant donc vers l'équilibre.
Comment avez-vous connu le forum ? : Google, un ami qui ne vous veut pas que du bien.
Quelle est votre expérience dans le rp ? : Pas beaucoup, disons a vue d’œil : 1 an
Quelque chose de particulier à dire ? :Pourquoi pas…
Souhaitez vous que votre présentation soit publique ou masquée ? : va pour publique !