Sujet: Entre collègues. [PV Sting] {Flashback} Mer 13 Juin - 20:29
[Avant toute chose : dans ce rp, il y aura plusieurs cas de contrôle du personnage opposé par les joueurs. Cela a été décidé avec Sting pour donner une meilleure fluidité à notre rp et car nous avons toujours fonctionné ainsi. Veuillez donc ne pas tenir rigueur de ces cas de contrôle du personnage de l'autre. Bonne lecture et merci.]
Encore une fois, un soleil magnifique qui ne demandait qu’une chose : qu’on l’admire du dehors. Cette période d’été était tout simplement somptueuse. Les arbres offraient leurs plus belles couleurs, les fleurs dégageant un parfum qui embaumait l’air et les esprits étaient détendus et vifs. Le Gotei était encore plus en effusion sous cette chaleur que par n’importe quel autre moment de l’année, ce qui pouvait sembler paradoxal quand on savait que le soleil assommant pouvait avoir tendance à rebuter les gens à faire des efforts. Les shinigami faisaient fi de la règle, profitant des températures chaudes et du climat clément tout en vaquant à leurs occupations, se réunissant dehors pour leur permission. Profitant de leur existence comme tout un chacun dans les émotions, les passions. D’autres continuaient de prendre leurs tâches très à cœur, en observant le soleil aguicheur de l’intérieur d’un bureau par le biais d’une fenêtre. C’était le cas de Iroai et il était loin de se plaindre : pour lui, rien n’était meilleur que profiter du soleil… après une bonne journée de travail pour accentuer la satisfaction. Le capitaine Muguruma lui avait donné des dossiers à trier pour le lendemain, concernant les affectations de chacun dans la division. De nouvelles directives avaient été données par le Leader de la neuvième qui pensait qu’un peu de changement ne ferait pas de mal et redonnerait un peu de souffle à la division d’attaque. C’était avec joie que le lieutenant avait prit en main ces dossiers et avait assuré à son supérieur hiérarchique qu’ils seraient traités avec application et soin, rendus dans les délais. Comme à l’accoutumée, Kensei Muguruma avait fait confiance à son subordonné qui ne l’avait jamais déçu quand il s’agissait d’être ponctuel autant qu’efficace. Il se fiait à son jugement pour trouver les affectations optimales.
Iroai arrangea la pile de dossiers qu’il tenait entre les mains par quelques coups successifs sur le bois clair et exempt de saleté de son bureau, gardant ce visage assez taciturne qui lui donnait parfois l’air d’une personne dénuée du sens de l’humour ou même de la fonction « bonheur ». Il appliqua avec délicatesse le papier rugueux sur le coin de son plan de travail et s’attaqua à une autre pile qui devait être à son tour feuilletée avec patience pour placer chaque individu au rôle qui lui irait le mieux. Il avait déjà choisi que Kyushu Takika serait au Dojo de la division. Le cinquième siège était une véritable furie au sabre et il serait un parfait entraineur pour ses camarades, lorsqu’il ne serait pas en train de purifier des hollows. Eishima Shinobu l’assisterait dans cette tâche, pour le Kido dans lequel son camarade était une véritable bille. Ces deux exemples là représentaient assez la logique du vice capitaine qui prenait à cœur de remplir son travail au mieux possible. Janshô Hazabi et Uroda Shigen avaient été affectés à la bibliothèque, place importante puisque la majeure partie des membres de la neuvième division dont lui-même étaient férus de lecture et plus généralement d’art, un domaine dans lequel d’autres shinigami avaient été dispatchés. Chacun se voyait, au fil des minutes et des lettres à l’encre de Iroai, assigné une place qu’il tiendrait dans la vie communautaire de la division hors de ses fonctions premières de dieu de la mort, s’entendait purifier les hollows et enterrer les âmes ainsi que veiller à l’équilibre de la balance de ces dernières. S’occuper de l’organisation de sa division lui procurait un sentiment gratifiant, la sensation d’être réellement utile au-delà même de sa simple position hiérarchique. Il remerciait intérieurement son capitaine de lui accorder l’honneur d’arranger à sa convenance les troupes.
Après avoir dépassé Eishima Shinobu, s’être montré plus complet et polyvalent que Kyushu Takika, il lui avait fallu intérieurement un nouvel objectif. Quelque chose à atteindre, un point de culminance dans ses capacités. Il n’avait jamais vu aussi large autrefois. Cependant, atteindre le niveau de son supérieur et lui ressembler était devenu un dessein honorable. Cet homme lui inspirait un amalgame complexe d’admiration, de respect, de frayeur parfois. Le capitaine était quelqu’un qu’il ne valait mieux pas décevoir ou déranger sans raison valable, d’autant qu’il lui arrivait de s’énerver pour des broutilles. Cependant, il avait des valeurs que son vice capitaine ne pouvait qu’envier et la maitrise qu’il avait de ses compétences, son sang froid et sa présence imposant le respect étaient tout aussi enviables. Iroai s’était déjà promit depuis longtemps que si il devait lui succéder -car il ne comptait en aucun cas finir ailleurs que dans la neuvième division- il continuerait de véhiculer les mêmes impressions que lui. Il avait d’ailleurs pensé à se faire tatouer tout comme lui le même chiffre 69 mais pensait que le faire de son temps serait de mauvais gout. Il gardait cependant cette idée en tête, profondément admiratif de son supérieur, chose qu’il faisait ressentir dans sa foi et sa loyauté inébranlables, son obéissance aux ordres immédiate et sa totale abnégation quand il s’agissait de son capitaine. Servir dans la neuvième division était un honneur. Servir dans le Rokusha Kyubantai en était un encore plus grand. Servir sous les ordres directs de Muguruma Kensei… c’était quelque chose de bien plus pour lui que de l’honneur. Il savait que si il perdait cela, un grand vide pourrait naitre en lui. Mais il n’envisageait cependant pas la chose sérieusement : il était l’un des shinigami les plus intègres du Gotei.
Terminant de feuilleter le seizième dossier de la seconde pile, il le reposa comme les autres sans émettre le moindre bruit. C’est à ce moment qu’on toqua vivement à la porte de son bureau, suite à quoi il releva avec calme la tête tout en haussant un sourcil interrogateur, se demandant bien ce qui pouvait mettre dans cet état le shinigami qui déclarait de voix vive et haute « Fukutaisho ! Fukutaisho ! » derrière l’entrée. Entrez, intima-t-il au membre du Gotei treize de façon claire et distincte, visiblement l’un de sa division puiqu’il n’avait pas prit la peine de dire son nom. Ce dernier s’empressa d’ouvrir la porte et s’inclina rapidement devant son supérieur, visiblement assez pressé de lui apporter la nouvelle. Quelque uns des membres de la division se sont retrouvés nez-à-nez avec d’autres de la onzième division, des provocations sont montées et une bagarre à éclaté ! À ces mots, Iroai se leva instantanément en demandant à son subordonné de lui montrer la voie. Il avait été clair sur le fait qu’il interviendrait directement dans les cas d’indiscipline et qu’il les réprimerait lui-même : il n’était pas rare de le voir débouler lorsqu’il y avait un problème interne ou avec d’autres divisions, aussi les trouble-fête risquaient d’avoir quelques sueurs froides si ils ne calmaient pas rapidement leur testostérone. De plus, les membres de la onzième division étaient connus pour leur manie presque naturelle d’ignorer les règles et c’était ce qui le rendait inquiet : il risquait d’y avoir plus qu’un simple nez cassé dans la bagarre, si ce n’était un sabre entre deux côtes. Il quitta son bureau dans la précipitation, laissant son travail en plan ce qui avait le don de l’agacer au plus haut point. Les belligérants se souviendraient de ses sanctions pour les siècles à venir, à condition qu’ils deviennent assez intelligents pour leur survivre.
Il suivit le shinigami hors de son bureau et des quartiers de la division pour se retrouver dans les grandes allées qui étaient empruntées par tous les shinigami sans distinction de division ou de grade. Il ne lui fallut pas longtemps pour se retrouver sur les lieux de l’escarmouche entre shinigami qui commençait à mal tourner. Un membre de la neuvième division était à terre en train de se tordre de douleur aux niveau des abdominaux, deux membres de la onzième division tenaient le deuxième shinigami de la neuvième, tandis qu’un troisième lui enfonçait l’estomac à coups de poings. C’était totalement inacceptable ! Iroai accéléra le pas jusqu’aux bagarreurs, la bagarre ayant plutôt tourné en une séance de passage à tabac en règles. Son subordonné restait derrière lui, sans doute peu envieux d’être prit pour cible… le dos du lieutenant était une cachette bien plus sûre que n’importe lequel des murs qui les entouraient à cet instant. Alors qu’il s’approchait, les deux vandales qui tenaient le shinigami de sa division écarquillèrent les yeux en reconnaissant l’emblème de lieutenant… et de division. Ils lâchèrent leur supposé camarade et reculèrent d’un pas avec un rictus de frustration. Le dernier leur demanda ce qu’ils pouvaient bien faire tout en empêchant sa victime de tomber au sol. Lorsqu’il se retourna, il fut sans doute encore plus surpris que ses compères… ou était-ce la culpabilité d’être celui qui frappait qui semblait peser trop lourd, tout à coup? Iroai ne savait pas exactement de quoi il en retournait. Ses hommes pouvaient tout aussi bien avoir lancé la bagarre, mais il préférait ne pas sauter aux conclusions. Il voulait des explications. Si il s’était laissé allé au jugement hâtif, il lui aurait semblé évident que les membres de la onzième division s’étaient attaqués à ceux de la sienne pour passer le temps et que, le nombre et la force faisant, ils les avaient tabassés en bonne et due forme. C’était peut-être le cas. En attendant, il avait un rôle à assumer… et des têtes à refroidir.
- Bon sang, qu’est-ce que vous êtes en train de faire?! Sa voix tonna comme l’orage alors qu’il durcissait encore son expression déjà peu engageante, lui donnant un air qui faisait véritablement peur. Les shinigamis reculèrent encore d’un pas et quelques gouttes du sueur perlèrent sans doute de leur front, tandis que les deux shinigamis de la neuvième se laissaient piteusement aller contre le sol, ayant eu plus que leur dose. La voix de Iroai attira quelques curieux qui observèrent la scène, de loin, peu envieux d’avoir l’air d’admirer le spectacle et d’être eux aussi sermonnés. Vous en prendre à vos camarades, vos frères d’armes… c’est une honte ! Vous agissez comme des chiens affamés à qui on balance un morceau de viande ! Quand il désirait se faire entendre, on l’entendait, pour sûr. Il les fixa à tour de rôle et son expression se durcit encore quand il repassa sur ses confrères gisant au sol dans leur salive et un peu de sang sur les lèvres. Il n’aimait pas qu’on transgresse les règles et n’importe qui devait payer le prix de ses actes. Mais il devait avouer que voir les membres de sa division au sol était quelque chose qu’il avait encore plus en horreur… surtout que rien ne disait qu’ils étaient coupables de quoi que ce fut. Par contre, ceux de la onzième division avaient été pris la main dans le sac… ou le poing dans l’estomac. Il s’avança dans l’optique de continuer son carnage verbal qui avait attiré quelques flâneurs, mais un rire l’arrêta. Un rire qu’il avait apprit à connaitre et qu’il n’appréciait guère, mais on ne pouvait pas toujours aimer ses collègues. Cependant, pour la bonne cohésion de l’ensemble, il fallait se serrer les coudes… en se tournant vers un des murs qui bordaient l’allée, il l’aperçut, perché à plus de quatre mètres de hauteur. Zoku Nadeki se tenait là, nonchalant, son sourire démoniaque aux lèvres et ce ricanement insolent hors de la gorge. Iroai l’observa et serra les dents. Depuis combien de temps était-il là? Il ne l’avait pas ressenti en arrivant, pourtant ce dernier n’était pas du genre à cacher son énergie. En se concentrant, il se rendit compte que la pression spirituelle dans l’air était la même depuis tout à l’heure. Il y baignait mais n’y avait même pas pensé. Sa vindicte l’avait poussé à baisser sa garde et il s’en voulu un instant avant de se tourner vers le fukutaisho de la onzième, qui ricanait de façon sadique comme si la situation avait quelque chose de cocasse… ce qui avait le don d’agacer son collègue de la neuvième. D’autant qu’il n’était en aucun cas intervenu malgré le fait évident qu’il fut là bien avant lui.
- Zoku Nadeki… tu étais là depuis tout ce temps et tu n‘as rien fait? Tiens tes hommes ! Le ton employé était froid, glacé. Son regard se durcit, rencontrant les pupilles de son interlocuteur qui ne semblait en aucun cas se sentir gêné de son irresponsabilité évidente dans la situation. Les curieux devenaient de plus en plus nombreux… car quand on connaissait la relation entre ces deux là, rater un désaccord était selon son degré de témérité soit proscrit, soit conseillé.
Dernière édition par Iroai Senkou le Jeu 14 Juin - 1:25, édité 1 fois
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Sujet: Re: Entre collègues. [PV Sting] {Flashback} Jeu 14 Juin - 0:09
La Soul Society, le lieu où se rende la plupart des vivants mourrant. Une organisation fait respecter la balance des âmes, équilibrant les âmes mourantes et celles qui sont sur le point de ressusciter sous une nouvelle enveloppe. Cette organisation porte le nom de Gotei 13 et est composé des dieux de la morts garants de la paix. Cependant, ces êtres remplissant une mission juste ne sont pas tous forcément bon. Et c’est le cas du vice-capitaine de la 11ème et 13 divisions de la cour. Son nom ? Zoku Nadeki. Il était là, au-dessus du bâtiment de ses quartiers résidentielles, sur le toit en train de piquer un somme. Contrairement à beaucoup de shinigamis qui aimaient remplir leur devoir, lui, aimait se la couler douce tous les jours et ne fournissait que le stricte minimum. Il n’aimait pas son capitaine qui pour lui n’était qu’un gros imbécile aux deux sens du terme incapable de tenir correctement sa division et qui n’était bon qu’à postilloner à chaque fois qu’il ouvrait la bouche. C’était un beau jour d’été et l’astre solaire lui permettait de dormir paisiblement. Les deux bras croisés sous sa nuque il regardait le ciel, l’air vacant. Bien qu’il soit de nature extrêmement belliqueuse, il n’était pas pour autant le dernier des imbéciles. Il était capable de résoudre des énigmes complexes et de pouvoir trouver des solutions à bon nombres de problèmes. Ce qui lui faisait défaut était son manque de motivation. Ce qui lui plaisait, c’était uniquement de se battre et de prouver à quel point il était fort et classe à tout le monde. Il n’était pas assez fou pour s’attaquer aux capitaines car il se savait pas au niveau par rapport à ces derniers, il était loin de maîtriser le Bankai contrairement à la totalité des capitaines du Gotei. Mais chaque chose en son temps, et justement. Dans l’actualité des choses, en tant que Vice-capitaine, il n’était pas le premier élu à se rendre dans le monde des humains afin de terrasser du hollow car étant donné qu’il s’agissait d’un rang à haute responsabilité… Il avait besoin d’actions et de piments dans cette journée comme les autres.
Zoku se leva et se tapota les fesses comme s’il souhaitait se retirer la poussière de ces dernières et s’étira quelques instants avant de bailler bruyamment. Il saute et atterrit sur le haut d’un des murs qui composait le labyrinthe qu’était le Seireitei. Il se mit à marcher tranquillement le long de ces murs, avec un rictus qui se dessinait dans le coin de ses lèvres. Il s’agissait d’un sourire peu envieux, celui d’un homme qui ne recherchait qu’une chose, le combat. Ce qu’il avait besoin actuellement c’était de voir des hommes se battre pour n’importe qu’elle raison, pour lui, tout était bon pour pouvoir se battre que ce soit l’amour, la fierté ou la vengeance. Et quoi de plus idéal que d’admirer des faibles s’entre massacrer ? Admirer le spectacle était pour lui quelque chose d’incroyablement excitant. Et il ne lui fallut pas longtemps, seulement quelques minutes de marches sur les toits, arrivant au niveau des quartiers de la 10ème division, il vit un groupe de shinigamis qui étaient entrain de s’envoyer des flèches verbales. Se rapprochant, il remarqua pour son plus grand plaisir qu’il s’agissait des membres de sa propre division qui se querellait avec des shinigamis de la neuvième division. Division de pleutre à son goût qui préféraient rester leur vie planté devant des bouquins et à placer le devoir et la sauvegarde de la Soul Society avant leur propre vie. Il s’approcha et toujours sur son mur s’accroupie juste au dessus d’eux. Les shinigamis ne tardèrent pas à le remarquer, il est vrai que son aura était assez singulière et qu’elle était relativement connue dans le Seireitei. Tout d’abord, les shinigamis prirent peur, les membres de la 11ème, très combatifs mais aussi très courageux s’inclinèrent devant leur supérieur en lui demandant pardon. Tandis que les membres de la neuvième eux… Essayaient de les appuyer en lui expliquant que c’était ses sous-fifres qui avaient commencés à les chercher et qu’il fallait les punir comme il se devait. Zoku éclata de rire, avant de regarder tour à tour les deux groupes de shinigamis. Ils reculèrent tous d’un pas, voyant en ce rire comme un signe de mauvais augure et ils n’avaient pas tord. Notre protagoniste remarqua la supériorité numérique des siens, un passage à tabac c’était rigolo non ? De plus ses laquais avaient une taille plus imposante que les maigrichons de la neuvième. Il replia le majeur, l’auriculaire et l’annulaire de sa main droite avant de pointer son index vers les shinigamis de la neuvième et imita le bruit d’un pistolet.
Zoku Nadeki : Montrer leur de quoi est capable la onzième division dans les pugilats les mecs.
Shinigamis de la Onzième : A vos ordres Fukutaisho !
Ses sous-fifres retrouvèrent aussitôt le sourire tout en s’approchant à petit pas des shinigamis de la neuvième. Faisant craquer leur doigt, les résultats n’attendirent pas, un véritable massacre débuta sous les yeux du vice capitaine en train de rire aux éclats. Il regardait ces pauvres shinigamis se faire plaquer contre les murs et se faire détruire l’abdomen à coups de poings. C’était tellement hilarant de les voir pour notre héros. Les shinigamis qui essayaient d’appeler à l’aide en vain tout en se faisant rouer de coups. Ils devenaient tous bleutés à cause des hématomes multiples. Leur force physique n’était pas assez développé pour pouvoir rivaliser avec les shinigamis de la onzième. Les shinigamis alentours entendirent la pugilat et se ramenèrent, admirant ce spectacle terrifiant qui se déroulait sous leurs yeux avec un homme qui ne pouvait s’empêcher de rire et qui plus est ne souhaitait même pas intervenir. Puis des messages de bouches à oreilles se firent entendre, jusqu’au moment où Zoku remarqua un shinigami de la neuvième division s’en aller à toute allure dans les ruelles du Seireitei. Ce dernier haussa les épaules et regardait de nouveau le combat. Les shinigamis de la neuvième étaient à terre à bout de forces, ses pions s’amusaient à leur donner des coups de pieds dans le ventre, même à terre. Le vice capitaine prenait vraiment son pied à regarder ce combat lorsque soudain il ressentit venir de loin une aura qu’il connaissait, prenant un air de dégoût il continua cependant à regarder le combat, haussant des épaules quant à l’intervention plus que probable de ce borné d’Iroai.
Ce dernier ne tarda pas à arriver, entouré de quelques shinigamis il semblait drôlement énervé. Zoku se retint de rire, il trouvait cela vraiment bête de s’énerver à un tel point pour une « petite » altercation entre shinigamis, cela pouvait arriver à tout le monde et voilà que ce dernier venait y ajouter son grain de sel. Mais pourquoi pas, cela pouvait être amusant, et qui sait, il pourrait lui-même se dégourdir un peu les pattes, cela faisait un moment qu’il ne s’était pas défoulait et il commençait à en devenir fou. Et c’est ainsi que commença le fameux sermon habituel du gentil garçon. C’était vraiment… mignon, que dire de plus ? Une telle scène, Zoku ricanait dans sur son mur tout en admirant la scène actuelle. La virilité de ses hommes revint au galop et ces derniers commençaient à en avoir des sueurs froides, c’était pitoyable… Vraiment. Ils avaient même des gouttes de sueurs liées au stress qui dégoulinaient de leurs fronts et les laquais d’Iroai retrouvaient le sourire, leur sauveur était enfin arrivé. L’attaque verbale de notre cher fukutaisho attira l’attention de nombres de shinigamis qui commençaient à s’amasser afin de voir le spectacle, certains mêmes essayaient de grimper sur les toits, tout en gardant une distance de sécurité par rapport à Zoku. Puis vint finalement le moment où Iroai remarqua finalement la présence de son collègue. Prit par sa colère il ne l’avait même pas remarqué, ce dernier perché depuis un moment maintenant sur son mur, admirant la scène « discrètement ». Ce fut d’ailleurs à son tour de se faire sermoner.
Iroai Senkou : Zoku Nadeki… tu étais là depuis tout ce temps et tu n‘as rien fait? Tiens tes hommes !
Zoku ricana encore avant de finalement se lever. Ce dernier utilisa un shunpo et se retrouva en face de son collègue lieutenant. Un duel silencieux débuta entre les deux protagonistes, l’ un prônant la justice et l’autre le désordre. Leurs philosophies étaient radicalement opposées. Zoku prit son collègue avec son bras par le coup afin de le rapprocher de lui, ne laissant que quelques centimètres entre ses lèvres et son oreille.
Zoku Nadeki : Pour tout te dire….
Zoku Nadeki : C’est moi qui leur ai donné l’ordre de tabasser tes sous-fifres.
Zoku lâcha prise et s’écarta de son rival mains dans les poches qu’il avait lui-même confectionné en faisant des trous dans son kimono, s’avançant tranquillement dans la direction opposée. Les principaux accusés de cette confrontation s’écartèrent du chemin du vice capitaine, ce dernier reprit à nouveau son rire mauvais si caractéristique. Avant de finalement se retourner de nouveau vers le fukutaisho. Un silence de mort s’ensuivit, les shinigamis qui se trouvaient sur le chemin des deux vice capitaine eurent rapidement trouvés les forces pour s’en écarter et se cacher respectivement derrière le représentant de leur division. Zoku n’allait pas s’arrêter à si peu de confrontation, il avait appâtait sa proie, il fallait désormais la ferrer, on ne peut se permettre de mettre fin au spectacle alors que le meilleur était encore à venir. Il reprit alors, admirant avec délectation la colère d’Iroai monter, bien qu’il se retenait, ses yeux le trahissaient, ils étaient empli de colères à la limite peut être de la haine ? Quoi de plus normal pour ce type de personnes, on venait de frapper ses frères d’armes, un petit peu comme des membres de sa « famille proche ».
Zoku Nadeki :Dans tous les cas…- Zoku prit une position plus appuyé, se penchant en avant en direction d’Iroai et haussant un sourcil en signe de provocation – C’était pas beau à voir… Tu es intervenu un peu trop tard pour les protéger, ils sont déjà bien estropiés tes p-r-o-t-é-g-é-s.
Zoku se mit de nouveau à rire en attendant la tirade d’Iroai qui ne saurait tarder.
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Sujet: Re: Entre collègues. [PV Sting] {Flashback} Jeu 14 Juin - 1:24
Le démon, Zoku Nadeki. Les aveux qu’il venait de faire furent non pas surprenants venant d’un être de sa trempe, mais semblèrent tout simplement outranciers à Iroai. Encourager le combat entre frères d’armes, les pugilats sauvages dans la rue, le passage à tabac… et s’en amuser ! C’était impardonnable ! Ce personnage était une véritable plaie dans le Gotei, si bien que le Fukutaisho de la neuvième division se demandait comment il avait pu atteindre son poste. Les yeux légèrement écarquillés et les poings serrés, il travaillait à se maintenir droit et digne. Si l’envie présente était de vivement repousser son collègue d’un geste brusque, il ne devait pas sombrer dans la violence. Ce serait tomber au même niveau que lui… celui d’un chien qui s’amusait de voir deux de ses congénères se battre pour le même os. Une lueur de colère vacillait dans ses yeux mais il s’appliqua à garder son sang froid comme il l’avait toujours fait auparavant. Il ne comptait pas changer d’attitude pour le fukutaisho de la onzième division… surtout pas lui. Dès l’instant où il l’avait vu pour la première fois, il avait senti quelque chose de mauvais en lui et n’avait cessé de le déprécier depuis. Lorsque Zoku s’adressa à lui en se penchant vers l’avant d’un air mesquin, les mains dans les poches et le sourire malsain aux lèvres, Iroai ne parvint pas à réprimer une moue de dégout très légère mais bien réelle. Ses protégés… il n’avait aucune idée d’à quel point il avait raison. Voire, il le savait parfaitement mais n’en avait pas totalement mesuré l’ampleur. S’en prendre à un membre de la division, de près ou de loin, c’était s’attaquer à lui. Ils étaient tous dans le même bateau et devaient se serrer les coudes : être un lieutenant ne donnait pas de privilèges autre que celui de pouvoir veiller sur ses camarades, mais le vice capitaine de la onzième division ne l’avait pas compris… comme tous ceux qui se trouvaient derrière lui et souriaient désormais à l’idée que leur Fukutaisho mette une raclée verbale à celui de la neuvième division. Celui-ci, cependant, ne comptait pas se laisser faire. Il se retourna sans un mot et aida l’un des shinigami de sa division à se relever, l’enjoignant de se rendre à l’infirmerie, comme à tous les autres. Ils en avaient assez eu pour leur journée. Il se redressa ensuite et soupira en fronçant les sourcils avant de se retourner vers Zoku qui prenait avec un dédain non dissimulé cette marque de camaraderie entre Iroai et ses subordonnés.
Le vice capitaine de la neuvième ne se fit pas prier pour effectuer un retour sur scène alors qu’aux alentours, les shinigami prenaient les murs pour protections, à défaut d’avoir un fukutaisho sous la main. Le caractère explosif de Zoku et celui plus froid et tranchant de Iroai faisaient un très mauvais cocktail et il n’était pas rare de les voir se bouffer le nez à la moindre occasion, plus ou moins violement et avec une virulence qui variait d’un jour à l’autre. Ils n’en étaient cependant jamais venu aux mains, même si chaque altercation verbale laissait présager d’un conflit qui, au même titre que la pression qui s’accumule sous la croute d’un volcan, risquait d’exploser au grand jour avec des bruits d’acier et des kidô perdus. Le fukutaisho de la neuvième division se replaça devant son collègue, d’apparence plus calme, croisant les bras sur sa poitrine.
- Je vois… écoute moi bien, Zoku Nadeki…
Il marqua un temps de pause voulu suite à ces mots et son regard se fit encore plus acéré, comme si il s’adressait à la pire des racaille. Ce qui était, pour lui, en quelque sorte le cas… celui à qui il allait adresser ces mots les méritait amplement et il ne comptait pas se retenir sous prétexte que c’était le terrifiant, sadique et sans pitié lieutenant de la onzième division. L’idée de s’y arrêter l’aurait plutôt même fait doucement rire. Il reprit d’une voix sans appel. … j’ai pitié de toi. Te voir agir d’une façon si peu respectueuse en observant d’autres shinigami s’entretuer pour ton plaisir personnel est un comportement qui ne me donne qu’une seule envie : filer au Rukongai pour demander si quelqu’un n’a pas perdu un gamin pré pubère en pleine crise existentielle. Penses-tu que cela soit le digne comportement d’un shinigami? Peut-être que dans ta division où le plaisir est au pugilat et aux bagarres sans aucun état d’âme, cette vision des choses peut te paraitre à peu près correcte, mais ici, tu n’es pas dans tes quartiers. Tu es dans le Seireitei et tu as affaire à des membres de la neuvième division qui prennent leur temps de façon plus réfléchie qu’à savoir qui pourra le plus vite briser une paire de côtes. Il sentait que ses tirades touchaient au but, surtout lorsqu’elles allaient directement envers le vice capitaine en face de lui. Quelques tics nerveux striaient son visage et Iroai restait calme dans l’adversité, continuant de le vriller droit dans les yeux, sûrement pas prêt à laisser filer cette occasion de lui mettre ses vérités dans la figure de façon tout à fait louable et, avant tout, justifiée. Il décroisa les bras de sa poitrine et plaça une main détendue sur le pommeau de Dokuganryu, geste qui n’était pas tout à fait innocent dans le fond mais totalement dans la forme. Il ne fallait pas que ça ai l’air d’une provocation au combat, ou Zoku en profiterait de façon immédiate.
Parfois, je me demande vraiment comment tu as pu obtenir ton poste. Acceptent-ils vraiment n’importe qui, dans la onzième division? Je veux dire, si tant est qu’il soit capable de manier un sabre sans se couper un doigt sur la lame ou s’étriper lui-même. Quoi que, il doit y avoir une raison pour préférer le pugilat… peut-être qu’à force de finir ivres à tout bout de champ, vous finissez par avoir peur de vos propres armes? Il vit les regards indignés des membres de la onzième s’élever derrière leur Fukutaisho, mais il n’avait rien à répondre. La suite serait soit calme, soit radicalement plus mouvementée. Quoi qu’il en soit, Iroai ne comptait pas se dégonfler, pas avant d’avoir asséné la tirade fatale à celui qui se révélait être la cible de toutes ces piques venimeuses, principalement. Tu te comportes comme un chien errant que tout le monde rejetterait et qui irait se venger sur la première chose un peu plus faible que lui-même venue. Mettre ce même chien errant à ton poste donnerait les mêmes résultats à ta division. Non, laisse moi me corriger…
- … même un chien errant et galeux aurait plus de valeur que toi à ce poste.
Le coup de grâce, l’estocade finale et surtout, la victoire verbale. Iroai le su au moment où le visage de Zoku se fendit d’une grimace distordue de frustration et que ses yeux s’écarquillèrent, commençant à briller de la même lueur que les siens un peu plus tôt. À ceci près que lorsque les yeux du lieutenant de la onzième division commençaient à s’animer de colère, on ne devait pas avoir l’espoir qu’il se calme. Il n’avait jamais obéi à personne d’autre qu’à ce concept nommé la « force ». Il était dangereux. En le voyant trembloter des épaules de rage, ses subordonnés se reculèrent en déglutissant et ceux du lieutenant de la neuvième division également. Il savait ce à quoi tout ceci pouvait rimer : Zoku allait abandonner toute trace de restriction. Il fut plus qu’heureux à ce moment d’avoir en main son zanpakutô, même si c’était sommaire. Soudain, elle arriva comme une odeur qui envahit l’air… avec bien plus de présence. L’aura de Zoku. Une aura mauvaise, une aura écrasante, l’aura de ceux qui aiment détruire et se battre, de ceux qui aiment soumettre leurs adversaires et se hisser vers le haut. Une aura incontrôlée. Elle montait en l’air au même titre que le reiatsu de son collègue montait en flèche, signe évident des effets dévastateurs de sa tirade d’un peu plus tôt. Iroai tourna la tête sur sa droite, puis sur sa gauche, et le même schéma se répétait. Les shinigami reculaient, étaient pris de sueurs et tremblotaient face à ce reiatsu oppressant et mauvais, ce reiatsu qui ne pouvait pas être synonyme de bien, si ce n’était d’annihilation. Le lieutenant de la neuvième division se tint droit alors que l’air autour de lui semblait devenir un peu plus étouffant, tremblotant de reiatsu. Les traces de colère sur le visage du fukutaisho de la onzième division étaient plus qu’évidentes. Ses yeux étaient désormais non pas écarquillés mais exorbités, son sourire mauvais animé d’un tic nerveux. Iroai Senkou plissa les yeux et serra un peu plus fort la garde de son zanpakutô. Il n’avait jamais affronté Zoku Nadeki et avait espéré que cela n’arrive jamais. C’était contre toute bonne entente entre membre de la Soul Society, ça allait contre tout principe de cohésion. Pourtant, une part de lui était… excitée? Il ne le comprenait pas, ou peut-être refusait-il d’admettre que l’idée de l’affronter et lui mettre une raclée pour qu’il cesse ses exactions plus que malsaines était de plus en plus alléchante. Il espérait le faire ployer avec du Reiatsu? C’était totalement proscrit. Ses subordonnés se mirent à reculer dans son dos alors qu’il se tenait de façon stoïque, prêt à dégainer à tout moment. Il était temps de faire face… même si une altercation entre lieutenants était un signe évident de troubles à venir.
Sa propre aura se mit à envahir l’air, égalisant peu à peu celle de Zoku, comme si leur reiatsu respectifs étaient deux chiens qui se mordaient dans la nuque à tour de rôle. L’endroit devenait de plus en plus oppressant mais Iroai n’allait certainement pas céder à la panique ou à la peur. Cela aurait été un déshonneur pour lui, ainsi qu’une sévère défaite psychologique. Penser qu’un être aussi bas, aussi malsain et vil, puisse prendre l’ascendant psychologique sur lui… c’était comme être rabaissé plus bas que la bête même. Les deux reiatsu continuaient de s’affronter alors que les lieutenants restaient immobiles, au même titre que les shinigamis qui observaient désormais la scène avec une appréhension qui se muait en une panique sourde. Les lieutenants… ils allaient vraiment se battre? D’un côté, un homme au tempérament violent et impulsif qui venait de se faire rabaisser en bonne et due forme. De l’autre, un homme plus froid et pas moins violent quand il le fallait, qui demandait intérieurement justice pour les agissements de son collègue. Le volcan allait bientôt entrer en éruption. Iroai lui adressa son regard le plus acéré et froid possible, lui signifiant qu’il ne le craignait absolument pas et que si il outrepassait le pas du combat, il lui montrerait à quel point un membre de la neuvième division pouvait se révéler au moins aussi dangereux qu’un membre de la onzième avec une arme en main.
- Aurais-tu perdu ta langue, Zoku Nadeki? Où est cette insolence que tu avais tout à l’heure?
Invité
Sujet: Re: Entre collègues. [PV Sting] {Flashback} Jeu 14 Juin - 18:24
L’affrontement verbale allait commencer et il allait être pimenté. Zoku n’hésiterait pas à fondre sur son collègue à la moindre faille il était prêt et souhaitait en finir au plus vite avec ces chamailleries, voulant passer aux choses sérieuses le plus rapidement possible. Cependant afin de pouvoir déguster une véritable querelle, il était important pour lui de ne pas griller les étapes. Il se redressa et croisa les bras, stoïque, écoutant sans le moindre mot tous les dires d’Iroai qui l’harcelait verbalement.
Iroai Senkou : … j’ai pitié de toi. Te voir agir d’une façon si peu respectueuse en observant d’autres shinigami s’entretuer pour ton plaisir personnel est un comportement qui ne me donne qu’une seule envie : filer au Rukongai pour demander si quelqu’un n’a pas perdu un gamin pré pubère en pleine crise existentielle. Penses-tu que cela soit le digne comportement d’un shinigami? Peut-être que dans ta division où le plaisir est au pugilat et aux bagarres sans aucun état d’âme, cette vision des choses peut te paraitre à peu près correcte, mais ici, tu n’es pas dans tes quartiers. Tu es dans le Seireitei et tu as affaire à des membres de la neuvième division qui prennent leur temps de façon plus réfléchie qu’à savoir qui pourra le plus vite briser une paire de côtes.
Zoku écoutait calmement les paroles de son collègue, il trouvait ses quelques paroles quelques peu ironique. Il se contentait de se taire et gardait ses réponses pour lui. Il sentait la tension monter petit à petit et des démangeaisons commençaient à lui piquer le visage et les muscles, l’excitation y était belle et bien, il sentait l’adrénaline monter mais ce n’était pas assez il devait continuer à encaisser afin de savourer pleinement sa revanche verbale ou l’arme à la main. Zoku remarqua que le vice capitaine de la neuvième division empoigna son zanpakutô, cela était un signe pour lui, ce dernier se préparait lui aussi à un combat imminent. Certains se diraient malchanceux de croiser avec le sabre contre un haut gradé, mais pour notre protagoniste, il ne s’agissait que d’un appel et un appel qu’il connaissait bien, l’appel du combat et à la violence la plus pur et la plus brutale. Tout ce qui touchait à l’arme blanche le rendait intérieurement fou. Mais il ne pu rien dire, l’assaut verbale repris de plus belle, Iroai ne s’en arrêta pas là.
Iroai Senkou : Parfois, je me demande vraiment comment tu as pu obtenir ton poste. Acceptent-ils vraiment n’importe qui, dans la onzième division? Je veux dire, si tant est qu’il soit capable de manier un sabre sans se couper un doigt sur la lame ou s’étriper lui-même. Quoi que, il doit y avoir une raison pour préférer le pugilat… peut-être qu’à force de finir ivres à tout bout de champ, vous finissez par avoir peur de vos propres armes? -Après une courte pause- Tu te comportes comme un chien errant que tout le monde rejetterait et qui irait se venger sur la première chose un peu plus faible que lui-même venue. Mettre ce même chien errant à ton poste donnerait les mêmes résultats à ta division. Non, laisse moi me corriger…
Iroai Senkou :… même un chien errant et galeux aurait plus de valeur que toi à ce poste.
A ces mots, Zoku cru devenir fou. Il ne s’attendait pas à une insulte de la sorte. Une telle comparaison ? Comment un être aussi idiot et renfermé que lui pouvait s’autoriser à dire quelque chose de la sorte ? Finalement la colère de Zoku était montée à ce que l’on pourrait dire son paroxysme. Le tout allait être grandiose. Ce dernier ne se contrôlait plus et laissa sa colère s’exprimer. Ses yeux s’exorbitèrent et une grimace apparut sur son visage, son sourire malsain lui déformait le visage et ses mains commençaient à devenir moites. Sa pression spirituelle fut relâchée tel un torrent. L’air ambiant devint rapidement peu respirable pour les shinigamis de bas étages. Notre héros n’était pas du genre à se préoccuper de ses subordonnés, ainsi, même ces derniers se faisaient toucher par sa pression écrasante, celle de ceux qui souhaitent la guerre et la souffrance. La pression spirituelle est comme une carte d’identité, elle révèle le profond intérieur de chacun, et Zoku n’était pas une exception à la règle. Il était tellement absorbé par les paroles d’Iroai qu’il ne remarqua même pas que les shinigamis qui étaient restés afin de regarder la querelle, béat, commencés à se mettre à l’abri bien que curieux de la suite des évènements. Peu de temps après ce fut au tour d’Iroai de dévoiler sa pression spirituelle. Cette dernière était bien différente de celle de son antagoniste, bien plus contrôlée et fluide elle n’en restait pas moins puissante. Les deux rivaux avaient choisis des voies différentes pour en arriver au même stade, devenir vice capitaine d’un des treize divisions du Gotei 13. Iroai décida de continuer sur sa lancé en relançant une aiguille venimeuse verbale droit sur Zoku.
Iroai Senkou : Aurais-tu perdu ta langue, Zoku Nadeki? Où est cette insolence que tu avais tout à l’heure?
La réaction ne se fit pas attendre, toujours les bras croisés, avec la même expression sur le visage, ce dernier reprit ce rire si caractéristique, emplit de sa haine et de sa mauvaise foie. Il ne pouvait pas se permettre de débuta l’affrontement sans avoir au moins riposté, cela en donnerait un coup à sa virilité mais aussi, cela voudrait dire que Zoku doive céder un point à son collègue
Zoku Nadeki :Je vois que même un imbécile collé la totalité de ses jours sur ses bouquins et à se lamenter sur son sort est capable d’avoir une véritable langue de vipère. Au final, tu ne vaux même pas mieux que moi, tu as beau être un bel orateur ce n’est pas par ce que l’on dit que ce soit les shinigamis, les hollows ou même les humains que l’on retiens mais parce ce que l’on fait. Hors… j’ai l’impression que la neuvième division n’en branle pas une comme on dirait. Après tout, la onzième division a obtenu sa réputation de combattant car nous sommes les meilleurs. Il n’y a pas à tortiller là-dessus. Vous êtes tellement faible que vous n’êtes bon qu’à rester cloîtrer dans vos dortoirs et je vais d’ailleurs te montrer à quel point j’ai raison.
Zoku attrapa Hana no Itamu et dégaina son sabre prestement de la main gauche. Il ne comptait pas utiliser ses deux zanpakutôs dès le début de l’affrontement. Cela faisait des années qu’il voulait en découdre avec lui et l’occasion s’était enfin présentait, il ne devait pas gâcher le plaisir de lui botter le train en deux trois mouvements car pour lui, il ne faisait aucun doute qu’il était plus fort que son collègue de la neuvième division. Sa première attaque ne tarda pas, se penchant en avant il utilisa un shunpo afin de se retrouver juste en face de lui, lui assénant un coup verticale fulgurant. Iroai sorti lui aussi son zanpakutô et riposta afin de parer le coup, le choc qui s’en dégagea créa une onde de choc de reiatsu. Les deux reiatsu sortaient du point d’impact, celui de Zoku possédait une couleur noir à l’image de son cœur qui était pourri. Ce dernier prit un mètre de recul suite à l’impact avant de fondre de nouveau sur sa cible, sa langue pendant et se ruant sur Iroai comme un chien affamé qui venait de trouver son gibier. Ses attaques étaient sans appels, il laissait son corps aller, ne calculant rien et frappant là où il le pouvait. Contrairement à Iroai qui maîtriser son zanpakutô de ses deux mains, lui se contenter de le faire tournoyer dans tous les sens, alternant successivement entre sa main gauche et sa main droite. L’adrénaline de ce combat le rendait ivre. Mais il dû rapidement se ressaisir lorsque une attaque d’estoc d’Iroai frôla son visage, entaillant légèrement sa pommette. Il prit une mesure de sécurité, se léchant le sang dégoulinant et les yeux toujours aussi exorbitaient. Sans un mot il se rua de nouveau sur son rival.
Ses attaques se faisaient rapide, et il avait une idée en tête. Les enchaînements se faisaient par échange, chacun à tour de rôles attaquaient puis parais. Quand soudain, Zoku vit l’occasion idéale afin de piéger le vice capitaine de la neuvième. Levant son sabre il l’abat violemment sur ce dernier, cette attaque gavée de reiatsu le contraignit à ce concentrer dessus afin de ne pas se la prendre en plein fouet. De sa main droite, Zoku attrapa la face d’Iroai en passant par-dessous son zanpakutô et commença à charger son énergie spirituelle dans cette dernière.
Zoku Nadeki : Hado no 33 : Sokatsui
Une explosion directe s’ensuivit. Malheureusement pour Zoku, Iroai avait réussi à s’enfuir. Cependant, on pouvait constater une légère trace de brûlure à la base du menton ainsi qu’un trou béant dans le sol. Bien qu’il n’était pas fort en kîdo, il était néanmoins à un niveau largement supérieur qu’un pauvre shinigami de seconde zone. Zoku fut prit d’une envie terriblement drôle (à son goût). Il prit son katana et le fit tournoyer en l’air avant de l’enfoncer dans le sol et commença à se concentrer. Il chargea ses mains en reiatsu qui commencèrent à obtenir une lueur rouge inquiétantes. Le vice capitaine ne pouvait s’empêcher de rigoler. D’un shunpo il se retrouva en l’air et se mit à pointer ses deux mains, l’une en direction d’Iroai, l’autre en direction des shinigamis de la neuvième division. Avant de prononcer le nom des techniques qu’il allait utiliser.
Zoku Nadeki : Hadō no sanjū ichi : Shakkahō !
Plusieurs boules de feu gorgées de reiatsu partir dans des directions diverses, ces dernières étaient rapide et ne tardèrent pas à toucher leur cible, des explosions à divers endroits eurent lieu. Les shinigamis de sa division se rendirent rapidement compte qu’ils étaient loin d’être à l’abri avec ce monstre dans les parages totalement déchaînés. Afin de sauver leur peau, beaucoup des shinigamis de la onzième ainsi que d’autres s’enfuirent en trombe. Il était sûr d’avoir toucher quelques membres de la neuvième bien que la fumée épaisse l’empêchait d’y voir net. Il utilisa un nouveau shunpo pour atterrir de nouveau au sol, attrapant son zanpakutô féminin. Il sentit soudainement une énergie spirituelle monter à travers la fumée, il s’agissait de celle d’Iroai. Zoku attrapa à la volée et ce sans réfléchir le premier shinigami qui lui passa sous la main. Le Hado no yon Byakurai sortit quasi instantanément de la fumée et atteignit en pleine figure le shinigami que Zoku avait attrapé et qui lui servit l’espace d’un instant de bouclier humain. Le vice capitaine de la onzième division lança en arrière avec nonchalance son « sauveur », attendant que la fumée s’en aille. Il pu découvrir non sans en rire, un Iroai Senkou qui semblait avoir pété les plombs. Bien différent de celui qui avait pu lui lancer toutes ces attaques verbales. Disons, qu’il devait réellement mener Zoku dans la plus basse de ses estimes. L’avait-il imaginé ne serait-ce qu’un instant qu’il utiliserait les Shinigamis de sa propre division comme leurre en les attaquants ouvertement sachant pertinemment qu’ils étaient incapable de s’enfuir ni même d’esquiver une telle attaque ? Qui sait, dans tous les cas, Zoku s’éclatait réellement. Il prit cette fois-ci son zanpakutô de la main droite et leva son majeur en direction d’Iroai, lui faisant en signe de provocation le pliant et le relevant afin de lui dire de se ramener.
Zoku Nadeki :Approches, on vient à peine de commencer.
Invité
Sujet: Re: Entre collègues. [PV Sting] {Flashback} Jeu 14 Juin - 22:08
Il venait définitivement de dépasser les bornes… d’abord cet assaut soudain, puis cette destruction environnante. Il s’était servi d’un membre du gotei comme d’un pauvre bouclier sans aucune autre valeur que celle d’un objet destiné à être jeté. Il l’avait poussé, lui, Iroai Senkou, un homme qui par-dessus tout tenait en grande estime la protection de ses camarades, à tirer dans l’un d’eux. Qu’il fut de sa division ou non n’avait guère d’importance. Il venait de toucher un Shinigami en pleine tête avec un Byakurai. Allait-il seulement s’en remettre? L’idée de l’avoir blessé gravement mettait en rage le gesshoku qui n’avait pas désiré ça. Zoku aurait pu prendre ce tir peu puissant sans difficulté, ça lui aurait juste laissé l’ouverture nécessaire pour l’immobiliser. Mais un autre shinigami moins puissant, c’était différent. Le reiatsu agissait comme une couche protectrice sur les gens et plus il était puissant, plus la résistance de l’individu était importante lorsqu’il s’agissait d’impacts spirituels. Au travers de la fumée, la lame encore tachée du sang de cet être malsain qu’il avait entaillé à la joue, Iroai passa son poignet gauche sur son menton légèrement noirci. Cet homme se battait sans aucun concept d’honneur. Il ne désirait que gagner et se délecter de ce chaos qu’il provoquait autour de lui. C’était sans doute pour ça qu’à cet instant, en tournant la tête autour de lui, Iroai comprit. Il n’avait pas voulu l’affronter par respect pour le Gotei… mais intérieurement, il désirait en cet instant même et plus que tout lui faire ravaler ses mots et sa vanité. Lui? Un rat de bibliothèque? Les membres de la neuvième division, moins forts que ceux de la onzième et « il ne fallait pas se tortiller là dessus »? Zoku Nadeki venait de faire la première erreur qui conduisait à la défaite : il sous estimait son ennemi sans jamais avoir vu l’ampleur de ses compétences.
Un geste grossier suivit de cet air toujours à la fois suffisant et démoniaque ne furent qu’un outrage parmi tant d’autre. Le fukutaisho de la onzième division était lentement mais sûrement en train de préparer le terrain pour regretter ses gestes. La bonne raison pour laquelle Iroai n’avait pas encore fait montre de tous ses talents était tout simplement que cela lui semblait à la fois inutile et égocentrique. Ils commettaient déjà une faute en s’affrontant dans cette rue, sous les yeux de dizaines de shinigami différents qui tentaient désormais de s’éloigner d’eux. Ils donnaient du Gotei l’image d’une organisation en proie aux luttes intestines. Mais à l’instant même, Iroai oublia tout ceci et se concentra sur la seule chose qui était réellement importante : le combat. Zoku parlait sans savoir. Si il avait su que le fukutaisho de la neuvième division passait le plus clair de son temps libre à s’entrainer et notamment au combat au sabre, il aurait ravalé ses mots avec prudence au lieu de les balancer sans réfléchir. C’était l’avantage de ne pas se faire remarquer, au Seireitei : on était plein de ressources. Il commença doucement à s’avancer dans la fumée tout en levant son épée pour venir pointer son adversaire du bout de son épée. Il ne comptait plus se retenir… et Zoku regretterait bientôt d’avoir provoqué en combat singulier un membre du Rokusha Kyubantai, le deuxième plus puissant. Le lieutenant de la neuvième division.
Son reiatsu monta en flèche en commençant à emplir l’air de nouveau. Il était totalement proscrit qu’il pardonne le moindre de ses actes à son « collègue » de la onzième division. Au contraire, il ne s’arrêterait même pas de combattre. Il allait tout simplement le vaincre sans autre forme de procès. Son regard se fit encore plus dur, contrastant avec le sourire machiavélique de celui qu’il ne considérait à ce moment même pas comme un membre du Seireitei. Il avait provoqué une lutte entre shinigami. Il se servait d’eux comme de vulgaires boucliers et pire encore, il visait même ceux sous ses ordres avec ses kidô incontrôlés. Il agissait comme un adversaire de la Soul Society et surement pas comme un lieutenant. Si personne n’était là pour l’arrêter, alors il le ferait… et quelque part, il se demandait même si il laisserait une chance à quelqu’un d’autre d’emmener son ennemi au nid de vers. Les shinigami aux alentours se reculaient pour observer de plus loin, car lorsqu’Iroai devenait colérique, il était tout aussi menaçant que Zoku, voire plus. La froideur dont il était capable de faire preuve lui donnait un air encore plus contrôlé… et effrayant. Il comptait répondre à la provocation, mais ce serait aux dépends du fukutaisho de la onzième division. Il allait vite comprendre qu’on n’insultait pas la neuvième sans en payer les frais… qu’on ne s’attaquait pas à l’intégrité même du Gotei sans en subir les conséquences. Un vent très léger se mit à écarter la poussière et remuer le tissu de ses vêtements, le badge de la neuvième division reluisant sur son épaule gauche.
- Je suis Iroai Senkou, lieutenant de la neuvième division et membre du Rokusha Kyubantai. J’ai été chargé d’intervenir dans n’importe quelle situation où le Gotei serait menacé, de façon physique ou dans ses fondements même. Toi, Zoku Nadeki, tu viens juste de faire les deux. Tu as poussé des shinigami à se battre entre eux, puis tu t’en es pris au lieutenant d’une autre division sans aucune retenue. Tu as utilisé tes camarades comme boucliers ou appâts. Tu ne mérites plus que je te considère comme un membre de cette organisation. Son reiatsu s’intensifia encore alors qu’il tendait le bras vers l’avant et se plaçait de profil, prêt à partir à la moindre occasion. Ses traits se firent encore plus durs et la colère apparu enfin sur son visage. Les mèches de ses cheveux voletaient en l’air. Quelqu’un interviendrait sans doute bientôt, car on ne laissait pas deux lieutenants combattre bien longtemps. Les pressions spirituelles étaient vite repérées. En attendant cet instant, le fukutaisho de la neuvième comptait bien régler le cas « Nadeki » sans plus se retenir. Il allait lui montrer à quel point il pouvait se tromper sur ses qualités de combattant, car il n’avait fait pour le moment que se défendre et contre attaquer. Désormais, c’est lui qui mènerait la danse… et Zoku comprendrait le sens du mot « épuisement ».
- En cette résolution, tu n’es rien de plus qu’un autre ennemi que je vais m’occuper de neutraliser. J’espère que tu es en paix avec toi-même… et que tu as pleinement mesuré tes paroles de tout à l’heure. Vous êtes peut-être une division de combattant… mais pourquoi crois-tu que je sois dans le groupe de défense du Seireitei? Cette remarque sembla installer une légère perplexité dans l’esprit de son adversaire qui pourtant, se mit à sourire, pensant surement avoir trouvé quelqu’un à sa taille pour s’amuser… ou quelqu’un qui pensait pouvoir -à tort, bien entendu- le défier. Iroai comptait lui montrer que l’habit ne faisait pas le moine : il n’avait pas été le meilleur en Zanjutsu de sa promotion sans raison. Je ne compte plus me retenir. Personne ne me tiendra rigueur d’avoir éliminé un animal, encore plus si c’est de la légitime défense !
Sur ces mots, le lieutenant de la neuvième division passa à la vitesse supérieure, littéralement. D’un shunpo fulgurant, il se retrouva devant le lieutenant de la onzième division qui fut fortement surpris de ne pas l’avoir senti arriver de plus loin. Il ne se fit pas prier pour lui asséner un coup de Zanpakutô qui aurait tout simplement pu le priver de sa tête si il n’avait pas paré à temps, reculant d’ailleurs d’un pas sous la furie de l’assaut. Se réceptionnant sur ses pieds, Iroai le contourna habilement et lui asséna une taillade dans le dos. Ils ne jouaient plus, les coups portés avaient pour but réel de causer des blessures graves, voir parfois de tuer. L’un car il n’avait jamais eu la moindre notion de retenue, l’autre car il trouvait tout à fait justifié de se débarrasser de quelqu’un qui agissait de façon si dangereuse. Le coup arracha un pan du kimono de Zoku qui venait d’être prit à contrepied, ce qui ne devait certainement pas lui plaire. Une perle de sang gicla d’ailleurs du bout de la lame du membre du Rokusha Kyubantai, qui venait bel et bien de trancher son adversaire pour la seconde fois, même si celui-ci était parvenu à éviter le pire. Les échanges reprirent sous les yeux effrayés et étonnés des spectateurs qui, non contents de regarder, commençaient même à commenter de façon discrète. Zoku avait pour lui la force, l’imprévisibilité de ses gestes et ses méthodes sanguinaires. Iroai était cependant plus précis, plus rapide. Il analysait les gestes de son adversaire sans lui laisser de faille. Il avait déjà failli se faire atomiser la figure quelques minutes plus tôt, et les shinigami de sa division avaient payé le prix de son manque de discernement. Il ne comptait pas laisser ce genre de chose se reproduire.
Les enchaînements commencèrent à tourner en sa faveur au fur et à mesure que son adversaire s’excitait et frappait en tout sens, laissant des ouvertures qu’il devait s’empresser de combler pour éviter d’être coupé en deux comme du lard. La froide concentration du rat de bibliothèque commençait à prendre le dessus sur le tempérament volcanique du soit disant combattant, ce qui n’était pas pour déplaire à Iroai. Cependant, il ne s’amusait pas. Il ne s’amusait pas de ce combat, même si il lui procurait une certaine excitation : il était nécessaire selon lui, non pas optionnel. Pour eux deux comme pour enfin mettre fin à ces comportements inadmissibles que Zoku Nadeki avait parfois. Pourtant, il devait admettre que l’autre faisait honneur à la réputation de la onzième division puisqu’il n’avait pas encore vu d’autre individu qui, par son simple manque de tactique poussé à un extrême déstabilisant, parvenait à lui tenir tête. Le choc des épées retentissait dans l’allée depuis plusieurs minutes déjà, alors qu’Iroai commençait à prendre l’ascendant sur son adversaire. Celui-ci changea de main et tenta une estocade, ce qui eu le mérite de surprendre Iroai qui mit cependant une place une réponse simple et efficace : faisant glisser sa lame, d’une main, contre celle de son adversaire, il lui asséna une taillade horizontale que Zoku du éviter en se baissant rapidement pour éviter d’être décapité. Il se retrouva à quelques centimètres de l’index, du majeur et du pouce de Iroai qui étaient joints, visiblement pour quelque chose d’autre qu’innocemment claquer des doigts. Il venait de tomber dans le piège.
- Hado no Ichi : SHO! Sur ces mots, son visage fut sévèrement repoussé quand le lieutenant claqua des doigts dans une vague de reiatsu qui éclata les dalles à ses pieds. Zoku fut repoussé jusqu’à un mur où il se claqua avec une certaine violence, et bien que remit rapidement de l’assaut, il fut plaqué contre le mur par Iroai qui vint percuter son épée de la sienne. Il lui adressa un regard mauvais. Alors, qu’est-ce que ça fait d’être mis dos au mur par un faible rat de bibliothèque? Zoku Nadeki !
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Sujet: Re: Entre collègues. [PV Sting] {Flashback}