Nom :
Gunshin

Prénom :
Miko

Pseudonyme :
/

Age :
Mort à 16 ans.
430 ans maintenant.

Genre:
Shinigami

Spécialisation :
Zanjutsu

Grade désiré(division/etc) :
5eme Division. Grade au choix



Description Physique :
Miko possède un physique à la fois attirant et intimidant. Cela s'explique de différentes manières. Son teint de peau blanc met en valeur les reflets châtains clairs de sa chevelure sombre, avec une coiffure longue, aux allures ébouriffés qui laisse tomber une longue mèche sur la partie droite de son visage. Des traits fins qui soulignent un faciès plutôt agréable. Enfin sans regarder ses yeux. C'est cette partie la de son visage qui inspire la "crainte" de sa personne chez les autres individus. Car en plus d'avoir une couleur bleu, aussi profonde que l'océan, son regard et froid, distant et laisse montrer un caractère plutôt glacé, même insensible. De plus, son œil gauche est marqué par un grande cicatrice, démarrant à la base du sourcil, et terminant au niveau de la moitié de sa joue. C'est une marque de brûlure, plutôt grave, qu'il s'est fait lors de son passé vivant.  Ses oreilles sont percées et souvent ornées de diverses boucles. Pour ce qui est de sa carrure, il n'est pas imposant, mais comme on dit, l'habit ne fait pas le moine. Il faut dire que les vêtements qu'il porte cache la majeur parti du temps la totalité de son corps. Le hakama noir traditionnel et fait de manière à être fermé au maximum. Mais en dessous, c'est une musculature bien entretenue qui s'y cache. Certes pas phénoménale, mais tout de même bien présente.

Description Morale :
Enfin, passons à ses caractéristiques mentales. Loin d'être idiot, ce n'est pas pour autant un génie. Excellent tacticien, il s'est perfectionné dans la mise en place de plans divers, et dans la recherche de faiblesse chez ses adversaires. Néanmoins, son propre point faible est sa difficulté à entretenir des relations avec d'autres personnes. Toujours très froid, il a du mal à se montrer gentil, voir attentionné. Il n'a pas une très bonne image de lui. Enfin, on peu juste dire qu'il est très dur avec lui même, cherchant à toujours mieux faire, même s'il fait bien. Sa foi et sa loyauté sont sans failles, tant qu'il n'est pas trahi. C'est pour cela que le Seireitei est pour lui le groupe à servir et à qui il ne fera jamais de tort tant qu'elle ne lui ne fait pas. Il aime se battre, et c'est même une autre personne en combat. Comme une forme de schizophrénie, il peut céder à une folie qui l'entraîne toujours au devant du danger. Il ne considère pas la mort comme une fin en soi, et pourquoi craindre quelque chose qui nous à déjà pris une fois?




Histoire :

23 Novembre. Année inconnue. Epoque féodale. Naissance d'un enfant, comme des centaines de milliers d'autres à ce moment même. Mais ce petit garçon, qui paraissait si fragile entre les bras de sa chère et tendre mère, n'allait pas avoir le même genre de destin que les autres de sa génération. Ce n'était pas un élu, juste un enfant qui allait vivre ce que peu vivront. Enfin, passons les 5 premières années, car elles sont rarement intéressantes, et à part l'apprentissage de la marche, les premiers mots, et tout ça, il n'y a surtout rien d'important. Son entrée dans l'école de son petit village se fît d'abord assez simple. Un simple petit garçon, qui allait jouer avec d'autres petits garçons. Enfin non. Il ne jouait pas. Il faisait preuve de violence dans sa façon de jouer avec les autres, ce qui, forcément, entraîna un rejet automatique de la part des autres. Et c'est d'ailleurs ainsi qu'il passa la majorité, pour ne pas dire toute, son enfance : Seul.

Mais plus tard, au début de l'adolescence, il fût pris par son tuteur qui, en ayant marre de l'inactivité glaciale de son fils, décida de faire quelque chose avec lui. Le choix du jeune se porta de suite sur le maniement des armes, ayant très bien compris que lorsqu'il serait en âge, son tour viendrait, et le départ pour la guerre serait imminent. La guerre. Celle qui lui avait pris son père dès sa plus tendre enfance. Celle où les enfant sont censés être innocents et pleins curiosité. Et bien non. Perdre son père, celui qui devait devenir son héro, ça a été perdre son cœur. Enfin. Là n'est pas le sujet. Il voulait être à la hauteur. L'entraînement était rude, long et épuisant. Mais tout les jours il était là, prêt à exécuter mille fois les même gestes pour que ce soit bien ancré dans son esprit. Il travaillait surtout dans la vitesse et la précision que dans la force du mouvement. Et puis, vînt le temps où sa lame allait servir d'outil de mort.

Il surprit une conversation, entre sa mère et son tuteur. Alors âgé de 16 ans, il pouvait bien comprendre tout les sens cachés d'une discussion d'adultes. Et ce qu'il entendit lui donna envie de se percer les tympans, afin de ne plus jamais entendre pareilles infamies. Il se leva, attrapant la garde de son sabre, le tira de son fourreau dans un bruit métallique, et les ombres qui se mouvait sur le papier qui constituait la porte, se tournèrent dans sa direction. Le panneau se brisa, et sa mère, ainsi que son tuteur purent observer un jeune garçon en état de transe. Ses mains tremblaient, son front suintait, l'émotion qu'il faisait ressortir, par sa simple présence, terrifiait les deux adultes. Trahison, haine, ténèbres, folie... Tous les pires sentiments étaient réunis dans une seule pièce, et dans une seule personne. La seule phrase qu'il pût prononcer à cet instant, aussi longue soit-elle, fût "Vous n'êtes que des traître. Mon père ne méritait pas d'avoir un destin si cruel. La guerre l'avait épargné... Mais vous non. Tout ça pour satisfaire vos envies de liberté, et vous retrouver. Le cliché de l'amant qui tue le mari, pour avoir sa femme. Je vengerai mon père de mes propres mains, par la volonté de mon âme.". Sûrement la plus longue phrase de sa vie. Mais à peine son tuteur ouvrit la bouche pour se justifier, que le sang chaud en gicla, aspergeant le visage du jeune Miko. Il laissa son sabre planté dans le ventre de sa victime, afin que sa mort soit lente et douloureuse, et se tourna vers sa mère, pétrifiée et pleurant toutes les larmes de son corps. Il approcha vivement ses mains de son cou, et l'étrangla de toute sa poigne.

Le corps inerte de sa pauvre mère s'écroula lourdement au sol, et le jeune garçon observa les deux corps qui gisaient au sol, et hurla de tout son être. Toute sa peine, sa tristesse et sa colère avaient pris d'assaut sa voix, et possédaient le cri qui résonna dans tout le village. Les gardes, alarmés par cet effroyable plainte, se rendirent dans la maison, puis dans la pièce du crime. Il y trouvèrent deux corps, et un gamin, couvert de sang, qui les fixaient avec un regard vide. Ils n'attendirent pas avant de l'embrocher violemment. Miko avait simplement levé ses bras au ciel, et tomba lentement au sol, le sourire aux lèvres, et le regard d'un homme qui avait accompli sa destinée, qui savait qu'il avait fait ce pourquoi il était fait. La brume apparût, le noir s'installa et la mort l'emporta...

A son réveil, il était là, dans des draps blancs, entouré de murs boisés. Ouvrir entièrement ces yeux fût une étape difficile, mais il y parvint après une lutte contre lui même. Il prit la peine d'examiner la situation. Il devait se trouver dans la pièce principale, voire unique, d'une petite maison. Il était vêtu de la plus simple façon qu'il soit, et ses habits trônaient sur une chaise à côté de lui, ils étaient déchirés et couverts de sang. Il tenta de se lever, mais ses forces étaient comme sapées. Mais la voix d'une jeune femme le tira de ses essais vains. "Dur de s'y remettre hein?". Et puis elle rit aux éclats, laissant Miko sans voix, ne sachant que dire. Elle lui expliqua qu'il était bel et bien mort, qu'il n'était désormais qu'une simple âme parmi tant d'autres au sein du Rukongai. Apparemment, il était dans 65ème District du Sud, la criminalité était plutôt haute, mais ça, on s'y habitue qu'elle disait. Elle l'avait trouvé, en sale état, sur le bord du chemin et l'avait recueilli chez elle, le temps de s'en remettre. Enfin. Il rééduqua son corps à la marche, au combat, et à tout ce qu'il faisait encore en vie en fait...

Les relations avec sa sauveuse, Luna, s'amélioraient de jour en jour. Il lui devait tout. C'était la première personne avec qui il s'entendait aussi bien. Mais comme toutes les bonnes choses ont une fin, le drame arriva à grands pas. Une bande de racaille, des bandits des routes, enfin des âmes qui cherche la subsistance, entamèrent les hostilités. Cherchant d'abord à s'en prendre à elle, Miko se mit sur le chemin. Ils étaient que trois, ça allait. M'enfin, la reprise étant dure, sa maîtrise du katana n'était pas aussi précise qu'à l'époque. Dégainant le sabre fraîchement acquis, il s'élança vivement sur le premier qui avançait, et s'enclencha un combat assez rude. Il ne payait pas de mine, mais ce bandit savait se défendre, et puis les deux autres ne tardèrent pas à débarquer. Ils le frappèrent au sol, mais très peu de temps, car un cri ignoble se fît entendre. Les trois voleurs s'enfuirent en courant, alors que Luna se jetait sur Miko pour le protéger. Splitch. C'est le bruit du sang qui coula à flot sur le visage de notre jeune âme. Un énorme monstre se tenait derrière le pique qui était planté dans sa seule amie. Ses yeux se ternirent, mais elle lui lâcha un dernier sourire avant d'atterrir dans ce qui faisait le corps de cette bestiole. Les yeux du Jeune Gunshin larmoyèrent, mais ne purent pleurer. La folie venait déjà de prendre le dessus. Il se releva lentement, sous l'œil affamé du monstre qui s'élança d'ailleurs au contact. Mais alors qu'il allait l'atteindre, l'âme du Rukongai poussa un cri semblable à celui qu'il avait réalisé dans sa vie passée, mais on pouvait ressentir cette fois, toute la détresse de sa situation, et cet amas de sentiments explosa littéralement. Une quantité conséquente d'énergie s'échappa de son corps pour créer un souffle comparable au blast de l'explosion du bombe. Miko, épuisé par la petite fessée qu'il avait pris de la part des bandit, et par la quantité d'énergie expulsée, tomba presqu'immédiatement dans les pommes.

Il se réveilla de nouveau dans des draps soyeux, ses affaires avaient disparues, et les murs étaient différents. Ils étaient d'un blanc que l'on pourrait qualifier de pur. Une voix se fît entendre, mais ce n'était pas celle qu'il attendait et qu'il attendrait toujours. C'était un homme, vêtu d'un simple Haori noir, qui lui expliqua le topo sur les shinigamis, les Hollows, qu'il était au Seireitei, etc... D'ailleurs, il venait de lui signaler son admission à l'académie du Seireitei, car ayant été alarmé par une grosse quantité de réiatsu en un seul en droit et subitement dans le 65eme district du Sud, ils ont de suite songé aux Hollows, mais qu'en arrivant, ils l'avaient trouvé là, gisant sur le sol, de l'énergie s'échappant encore de son corps meurtri.

Après quelques temps de repos, Il avait choisi la voie du Shinigami en allant à l'académie, en passant les diplômes adéquat, sachant que ceci pourrait lui permettre d'éviter les erreurs à l'avenir, en ayant le pouvoir de protéger les gens par exemple. Alors oui, il passa de longues années encore seul, de longues années à étudier, à savourer ses victoires et travailler sur ses échecs. Ses résultats n'étaient pas des moindres, certes il n'était pas premier, mais il n'en était pas vraiment loin! Enfin, les examen arrivèrent au galop, comme si le temps était passé extrêmement vite. Il les passa, fît ce qu'il avait à faire, et ressorti avec tout ce qu'il fallait en poche. Il allait être affecté à la 5e Division. Il avait hâte de commencer.



Description de l'arme ou du pouvoir :

Nom du Zanpakuto : Shokujinshu
Type :  Cannibalisme
Shikai : "Aitsu no Kareru, Shokujinshu"
En Shikai, ce sabre prends une forme très peu différente. Les seuls changements sont la couleur de la lame qui possède des reflets verts, et l'aura putride qui s'en dégage. De type Cannibale, Shokujinshu se nourri de la chair, du muscle et de la peau du corps. Alors, lorsqu'une plaie est ouverte par le biais du Shikai, elle pourrie. Donc, logiquement, une entaille superficielle ne pose que trop peu de problème, mais une plaies très profonde entraîne une grosse nécrose des tissus organiques, donc de la chair, de la peau et du muscle.




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