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Nom : Kumo


Prénom : Kyoya


Pseudonyme : Kumo-Taicho, Dark Vador, le Mort-Vivant


Age : Dans les alentours de 350 ans


Genre: Masculin

Spécialisation : Zanjutsu

Grade désiré(division/etc) : Capitaine de la Troisième Division, spécialisé dans la traque et suppression des Hollow




Description Physique :La première chose visible chez Kyoya sont ses célèbres ventilateurs . Bien qu'ils n'aient peut-être pas de numéros de série compliqués ou de noms uniques, ils sont les seuls responsables de sa survie à un stade aussi avancé de sa maladie. Créé à l'origine par Unohana Retsu et Urahara Kisuke, la maintenance et la production de ces appareils ont été transmises à Mayuri Kurotsuchi, le successeur de Urahara. Bien qu'il existe deux modèles distincts, les fonctions médicales de chaque ventilateur fonctionnent de la même façon, sans aucune amélioration de base ayant été apportée à leur conception malgré des années de recherches dévouées. En absorbant le reishi ambiant dans l'atmosphère avec chacunes des respirations de Kyoya, ces dispositifs mécaniques entonnent les particules spirituelles à travers un tube qui descend dans sa gorge et dans les bronches souches principales de ses poumons. Le reishi peut alors remplacer les tissus perdus par de fausses cellules temporaires qui empêchent les nouvelles cellules contaminées de se lier à ses organes, ce qui retarde le cycle dégénératif. Malheureusement, ce correctif n'est que temporaire, les tissus invasifs et puissants créés par son propre corps détruisent rapidement les cellules nées dans le ventilateur, recommençant ainsi le processus. Cette bataille cellulaire constante a joué dans ses poumons pendant des décennies, mais cela reste la seule chose qui le maintien en vie. Sans ses ventilateurs, qu'il n'enlève que pour manger, boire et appliquer des médicaments, il se trouverait incapable de respirer. L'étouffement se produirait en quelques jours. Tout en parlant, ces dispositifs mécaniques transforment la voix de Kyoya en caricature métallique et vrombissante d'elle-même.

Ce modèle, le plus connu, qui a été conçu par Unohana Retsu et Urahara Kisuke, est un triomphe de la technologie bien au-delà de son époque. Même avec les progrès récents dans le génie mécanique et l'intellect aveuglant de Mayuri Kurotsuchi, aucune amélioration de ses fonctions de base ne pourrait être apportées pour améliorer la capacité médicale de l'appareil. Les points forts particuliers du modèle sont sa construction relativement simpliste et la durabilité de ses pièces mécaniques. En raison de la propension de Kyoya pour le danger et la bataille, ce modèle a été créé avec à l'esprit un remplacement, et une douzaine d'entre eux sont stockés entre le quartier général de la 3e, 4e, 11e et 12e division en cas de panne d'urgence ou de dysfonctionnement. Le coût modeste des composants en polymère et sa conception simplifiée en font un outil simple à reproduire si le besoin s’en fait sentir. En raison de sa technologie de pointe et de son utilisation singulière comme dispositif médical, ce modèle peut durer des mois avant d'avoir besoin d'un carénage. En tant que tel, il est le plus couramment associé à Kyoya. Il le porte pendant toutes les activités sauf les plus intenses et garde un supplément dans ses quartiers privés en cas d'urgence.

L'appareil en lui-même est un tel objet de base de l'apparence de Kyoya que seuls quelques privilégiés ont vu son visage depuis sa création. Enveloppé de mystère, il ne reste que des rumeurs sur ce à quoi il doit ressembler après tant d'années de clandestinité sous le ventilateur métallique. Il était autrefois considéré comme très attrayant, bien que sa peau pâle et son comportement troublé le rendait difficile à approcher, même à ce moment-là. Maintenant qu'il doit porter l'appareil en tout temps, ses lèvres inférieures comportent deux piercings en l'air en argent. Les goujons noirs reposent au centre de chacun, ce qui est soudé à la mécanique interne des ventilateurs. Bien que deux modèles de ventilateurs aient été fabriqués, ils couvrent tous deux la moitié inférieure de son visage, du pont de son nez à sous son menton, et continuent autour de ses joues et de l'arrière de son cou. La jante extérieure et les caractéristiques des dispositifs sont toujours un violet profond, avec un noir de minuit étant choisi pour les zones déprimées et plates, protège-cou, et les filtres afin de contraster avec le reste de la conception. Ce schéma de couleurs a été choisi avec l'esthétique à l'esprit.

Le reste de l'apparence faciale de Kyoya correspond presque parfaitement aux ventilateurs. Ses yeux violets royaux rayonnent sous des touffes de cheveux noirs comme un homme possédé par l'intention. Ses iris sont colorées si vivement et anormalement que beaucoup considèrent son regard non seulement un des plus intimidants dans la Soul Society, même après l'éblouissement légendaire de Komamura Sajin, mais le plus mémorable, ainsi, cet impact est aidé par le spécial eye-liner noir qu'il applique tous les jours. La racine de cette caractéristique est son puissant Reiatsu violet, qui semble également épissage des teintes de la couleur dans ses cheveux de longueur moyenne, bien que les brins de minuit souvent le cachent dans un éclairage plus sombre. Sa coupe actuelle pointe tout vers le bas de manière assez plate, avec des franges un peu désordonnées et assez sur les côtés et le dos pour atteindre vers le bas du milieu de son cou. Bien que ses oreilles ne puissent être vus que si ses cheveux sont cachés derrière eux, certains pourraient remarquer qu'ils sont chacun percés de trois anneaux d'argent, un dans le lobe et deux juste un peu plus haut.

Bien qu'il se trouve à une taille supérieure à la moyenne, la présence physique de Kyoya et le corps élégant lui fait paraître un peu plus grand qu'il ne l'est réellement. Sa structure musculaire, bien que tonique et bien définie visuellement, est étroitement enroulée autour de sa forme glaçante comme un mur de marbre blanchi par le soleil, il n'y a pas de graisse à trouver n'importe où, en partie à cause de son entraînement intense et autodestructeur, et autrement en raison de sa maladie et de son système immunitaire surpeuplé. Bien que personne n'ose le penser maintenant, beaucoup avaient l'habitude de supposer que cette figure maladive et ciselée ne pourrait jamais produire autant de puissance que plus grand, plus sain Shinigami. Il n'a pas fallu de temps pour que Kyoya prouve que sa force ne devait pas être jugée par son état, et que sa volonté de combattre était plus forte que sa taille ne pouvait jamais espérer contenir.

Bien que souvent soumis aux mises en par Unohana Retsu, la capitaine de la 4e division, Kyoya est presque toujours couvert de blessures de combat de ses nombreux circuits d'entraînement et excursions sur le terrain. Les cicatrices de ses blessures disparaissent chaque fois qu'il va dans ses vaccinations hebdomadaires -antibiotiques et stéroïdes qui permettent à ses poumons de fonctionner avec le strict minimum -avec l’aide de Shinigami médicaux qualifiés. Malheureusement, en raison de sa personnalité unique et de l'envie irrésistible de se battre qui consume son esprit, les blessures externes continuent de s'accumuler, créant un modèle toujours changeant de marques à travers sa peau pâle.

Comme son corps, l'uniforme de Kyoya est criblé d'une poignée de coupures, de larmes, d’entailles et d'incohérences qui donnent un aperçu d'un monde où les conflits sont monnaie courante et où le combat est un simple fait de la vie. Cela est vrai pour des raisons personnelles et cela depuis sa fonction de la 11e division et maintenant celles de la 3e. Son shihakusho noir est totalement inchangé en dehors de l'usure physique qui semble toujours s'effilocher sur les bords et déchirer les coutures. Parce qu'il n'affecte pas ses capacités au combat d'une manière ou d'une autre, il n'a jamais trouvé une raison d'apporter un sens extérieur du style dans sa marque de vêtements, ce qui a fait de lui l'un des capitaines les plus prévisibles en ce qui concerne la mode personnelle. Son haori, qu'il porte dans le respect des règles normales, est rarement en une seule pièce, le voir dans un tel état signifierait qu'il venait de rentrer d'un voyage à la 4e division, et qu'il serait probablement entaché en quelques heures. Bien que les différentes entailles et ouvertures dans le tissu de son uniforme changent presque quotidiennement, Kyoya sait très bien que son devoir exige qu'il soit d'une manière relativement présentable lorsqu'il est appelé pour une réunion du Commandant-Capitaine ou une autre affaire formelle. A chaque fois, un peu avant une réunion avec le Commandant-Capitaine, il passe un moment à la 4e division pour récupérer un Haori propre.




Description Morale : La jeunesse fracturée, la douleur constante, et le sentiment de mortalité prémonitoire qui incarne Kumo Kyoya a coloré sa personnalité fortement. Comme un puzzle avec seulement des pièces noires, son profil psychologique est presque impossible à remplir, chaque facteur à son avis personnel aurait pu être causé par un certain nombre d'expériences traumatisantes, et la liste est presque sans fin. Bien que le résultat final soit assez simple à comprendre en surface, la complexité de ses véritables motivations est à la fois stupéfiante et déchirante, et même ses amis les plus proches— il n'en a que quelques-uns — ne sont au courant que des plus élémentaires de ses sentiments et de ses opinions. Les étrangers, en particulier ceux d'autres divisions, choisissent de ne pas remettre en question le fonctionnement social du Capitaine. Ils le voient comme un démon sur le champ de bataille, une arme secrète du Seireitei qui pourrait à lui seul rivaliser avec la force brute de Kenpachi, et n'ont aucune opinion publique au-delà de cette simple facette.

Bien que beaucoup de ses traits de personnalité et ses émotions sont gardés du monde autour de lui, Kyoya est publiquement connu comme un esprit indomptable de volonté et d'entraînement personnel. De l'extérieur, cela est considéré comme un facteur déterminant dans son ascension fulgurante au sommet de la 3e division, sa férocité terrifiante durant la bataille, et sa survie continue en dépit d'une maladie terminale. Ce que la plupart ne peuvent pas comprendre, c'est que cette volonté de se battre est tout ce qu'il a. Une enfance sans sécurité, sans attention, sans amour, des années de survie dans les rues les plus dures de Rukongai, et la douleur impossible de son désordre ont conditionné Kyoya à devenir un combattant auto-définissant- un Shinigami dont la vie a été tellement enveloppée dans la lutte pour la survie qu'elle l'incarne littéralement. Toutes les autres émotions sont non seulement difficiles à exprimer pour lui, mais douloureuses à considérer.

Au cœur de la personnalité de Kyoya se trouve sa maladie. Le pronostic de sa situation particulière l'a bouleversé dans les dernières années de sa vie. Tout au plus, il lui reste une décennie avant que la condition progresse trop loin pour que même son ventilateur ne puisse l'aider. Mais même s'il a survécu bien au-delà de l'espérance de vie normale de la maladie, qui est généralement fatale en moins d’un siècle, la menace de mort subite n'a jamais perdu de sa superbe, et est toujours bien présente. Certains considèrent que la moyenne des cent ans est assez élevée, ils croient que la progression lente mais régulière en fait une maladie plutôt gentille. Ce qu'ils ne comprennent pas, c'est la douleur que ses victimes endurent. Kyoya siffle constamment, s'étouffe et tousse du bouleversement dans sa poitrine, et ses effets psychologiques sont évidents à voir par l'acceptation sinistre dans ses yeux, même lorsque le sang s'infiltre de son ventilateur.

Mais la vérité la plus sombre et la plus triste est que Kyoya n'est en aucune façon parfait. Là où le monde extérieur voit un guerrier silencieux et stoïque qui peut sans crainte regarder les armées de l'Enfer, les murs de ses quartiers personnels ont entendu les cris les plus profonds d'angoisse d'un homme qui a vécu une vie de tragédie. Ces épisodes quelque peu rares de catharsis sont provoqués par un débordement de la réalisation, une répression ratée de la réalité qui peut mettre même le Capitaine à genoux. Cette maladie est le seul ennemi que Kyoya n'a aucun espoir de vaincre. Bien qu'il ait accepté sa mort prématurée comme un fait, avant même que Unohana Retsu ne diagnostique son état, il y avait toujours eu place pour rivaliser, survivre et s'améliorer. Mais maintenant que le combat est perdu à un rythme beaucoup plus rapide, il prend de plus en plus conscience de la façon dont sa vie a été horrible, et son impact sur son état psychologique ne fait que croître. Il n'est tout simplement pas équipé pour faire face à une telle émotion, ses parents l'ont privé de cette capacité.

Bien que les épisodes de catharsis puissent être dévastateurs pour son intérieur, sa santé psychologique, en particulier, ils peuvent aussi causer des dommages extrêmes à son environnement. Yûrei, son esprit Zanpakutô, est appelé en avant au cours de ces rares occasions comme un papillon de nuit, libérant des quantités massives de Reiatsu dans sa tentative de contenir la situation et de protéger Kyoya de tout danger, y compris les terreurs de son propre esprit. Ce flot de pression spirituelle est si puissant que même d'autres capitaines pourraient être gravement blessés, voire mortels, s'ils tentaient d'intervenir. Zaraki Kenpachi et Unohana Retsu sont les seuls capables d'entrer dans ses quartiers privés pendant que l'énergie violette se répand. Sa conception peut ignorer même le plus violent des épisodes, tout comme les murs des quartiers personnels du masqué.

La façade que la plupart voient, stoïque, forte et silencieuse, n'est pas moins une partie de la vraie nature de Kyoya qu'il n'y paraît, cependant. Des décennies de douleur l'ont rendu presque entièrement insensible à la douleur physique. Ces années ont également renforcé sa volonté et sa détermination dans un mur d'indifférence, le rendant non seulement à l'abri de la plupart des contrôles psychologiques, mais complètement unique d'esprit sur le champ de bataille. Cela devient beaucoup plus menaçant lorsqu'il est couplé avec son style de combat unique, celui qui est presque aussi suicidaire que c'est efficace. Avec peu de soin pour sa propre sécurité, Kyoya risque souvent des blessures dévastatrices afin d'éliminer ses cibles ou d'utiliser ses capacités de Zanpakuto, bien que rarement parlé, son objectif est de plus en plus glissé vers la mort dans la bataille, ce qui lui sauverait de la douleur de l'étouffement au cours des prochaines années.

Dans la conversation « civile », Kyoya est généralement silencieux, préférant écouter ce que les autres ont à dire beaucoup plus que de parler, lui-même. Cela est dû non seulement à sa personnalité généralement renfermée, socialement inexpérimentée, mais aussi à la douleur que la parole lui apporte s'il rassemble le désir de contribuer. Tout ce qu'il dit doit toujours être pris au sérieux. Ceux qui le savent le mieux sont les membres de la 11e et 3e division qui ont vu de leurs propres yeux et oreilles que la parole lui est difficile. Quand le Capitaine parle, tout le monde s'arrête pour écouter, surtout quand le ton mécanique semble lui donne un air autoritaire. Il siffle souvent entre les mots et tousse au stress de la vocalisation, lui faisant parler en brefs éclats de sens plutôt que des phrases complètes.






Histoire : Kumo Kyoya, l'enfant d'un couple du 80eme district Est du Rukongai, Yoshida, luttant pour des bouchées de pain dans les bidonvilles, a été maudit dès le moment de sa conception pour mener une existence équilibrée sur le précipice tragique de la vie et de la mort. Une naissance prématurée de près de sept semaines l'a amené dans la Soul Society à la fois significativement sous-développé et si pâle qu'il semblait être mort-né. La sage-femme qui l'a accouché l'a appelé le « fantôme-enfant ». Ses gémissements calmes mais durables et ses larmes froides et blanches, symboles de son avenir douloureux, tombèrent sur les oreilles sourdes et les yeux honteux de ses parents. La tristesse s'enfonça dans ses joues non lavées que la lutte de la pauvreté eu continuées. Pourtant, il a vécu, à la grande surprise du couple. L'enfant non désiré était une marque d'inconvénients dans sa propre quête de survie de base. Les préoccupations au sujet de l'eau potable, le maintien d'un toit rapiécé et l’apparition de gangs parasites qui ont infesté la région ont entaché leur esprit de stress et de suspicion. Une pratique tragiquement fréquente a vu le père de Kyoya tenant une main coupée fermement sur les lèvres fissurées, étouffant son propre fils pour éviter la détection d'hommes armés à la recherche d'un loyer ou négligemment dû de l'argent. Tel était son destin, et ce malheureux mode de vie, socialement opprimé et éthiquement déformé a continué pendant de nombreuses années.

Une fois qu'il eut un peu vieilli, les parents de Kyoya ont commencé à le laisser seul dans leur maison peu éclairée, avec seuls occupation qu’une tasse ou deux d'eau et un morceau de pain rassis — il avait commencé à montrer une faim insatiable, un marqueur d'une grande puissance spirituelle —pendant les nuits froides et solitaires ; c'était un signe de leur tolérance amère et de sa présence de plus en plus exigeante dans leur vie. Ils revenaient quelques jours plus tard, furieux de ses cris de solitude, ou que sa faiblesse avait fait basculer un verre, permettant au liquide durement gagné de s'infiltrer dans le sol moisi. Sa respiration laborieuse, qui a continué durant toute son enfance, a été ignorée. Ce traitement dur a continué jusqu'à ce qu'ils n’en puissent plus de sa fragilité, le laissant dans les rues dangereuses du district pour se débrouiller seul, avec le motif caché qu’il se fasse tuer ou kidnapper.

Ce que les parents de Kyoya n'auraient pas pu savoir, c'est qu'une maladie génétique remarquablement rare et incurable était nichée dans les poumons du jeune garçon, et non d'une personnalité pâle ou de sa naissance prématurée. Les deux parents avaient involontairement maudit leur fils avec un couple parfaitement imparfait de gènes, produisant la maladie sauvage et douloureuse dont les effets secondaires leur causaient tant de chagrin. La maladie a trompé sa propre chair et son sang en blessant ses poumons, remplaçant les tissus naturellement perdus — l'usure et la déchirure qui ne causent habituellement aucun problème — par des cellules intrinsèquement hostiles. Ces cellules ont ensuite dégénéré, transformant cet organe majeur en une machine autodestructrice qui a empiré. Sa peau fantomatique et pâle et son teint clair découlaient non seulement de sa naissance précoce, mais aussi de ce manque de fonction pulmonaire appropriée, qui a gravement affecté le développement de ses traits au cours de ses années de formation.

Ce n'est qu'après avoir rejoint les rangs du Gotei 13 et atteint le 20e siège de la 11e division, à la grande surprise de tous, comme les deux siècles complets de service antérieur l'a vu à peine accroché à la vie que Kyoya a rencontré le capitaine de la 4e division, Unohana Retsu. C'est elle qui a finalement diagnostiqué le jeune Shinigami avait cette maladie pulmonaire inconnue et incurable. Mais même la connaissance approfondie du Seireitei ne pouvait pas guérir un tel désordre profondément enraciné. La thérapie génétique, essayée par beaucoup, était ironiquement impossible grâce à sa puissance latente écrasante. Avec l'aide de l'ancien capitaine de la 12e division, Urahara Kisuke a finalement développé le désormais célèbre ventilateur qui empêche le Capitaine de succomber à sa maladie fatale. Ce développement ne s'est produit qu'il y a une centaine d’années, près de trois siècles après son admission à la 11e division, et il a finalement donné à Kyoya la stabilité nécessaire pour tirer pleinement parti de son énergie spirituelle stupéfiante.

En seulement quelques dizaines d’années, il parvint finalement à maîtriser le Bankai, peu après les événements qu’Aizen Sôsuke avait provoqué, lui laissant ainsi la voie pour devenir Capitaine. Il fut ainsi recommandé par Unohana Retsu et Kurotsuchi Mayuri afin qu’il montre ses capacités devant le Capitaine-Commandant. Ce dernier, en compagnie de plusieurs autres Capitaines, décidèrent finalement de faire que le jeune garçon aux allures chétifs pourrait devenir une Capitaine. Mais la question fut alors de l’envoyer dans quelle division ? La cinquième ? Pas assez mouvementée pour quelqu’un comme lui. La neuvième alors ? Bien qu’ils protègent le Seireitei, les Arts n’étant pas son fort c’est hors de question. Reste donc la 3e Division, dont le travail est l’archivage et la traque de Hollows. Enfin une division qui pourrait accueillir le futur Capitaine. Yamamoto ordonna alors à Kyoya qu’il serait, à partir d’aujourd’hui, le Capitaine de la 3e division. La première chose que fit Kyoya fut de donner à Kira Izuru, son Lieutenant, toutes la paperasse, dont l’archivage. Après tout, ce n’est pas quelque chose qui l’intéressait. Depuis, le capitaine prend régulièrement des missions qu’il devrait normalement donner à ses subalternes pour aller lui-même traquer les Hollows, rendant ce Capitaine, l’un des plus actifs sur le champ de bataille, et que l’on ne pourrait jamais lui dire qu’il se cacherait derrière les autres.



Test RP :




Description de l'arme ou du pouvoir :

Nom du Zanpakuto : Yurei (Fantôme)


Aspect scellée du Zanpakuto : Yurei, la lame redoutable du Capitaine de la 3e division, a une réputation des plus sinistres. Les rumeurs qui l'entourent parlent toujours de sa puissance brute : le passé destructeur, le présent et l'avenir qu'il semble incarner. Et ces compliments ne sont pas donnés à la légère, des dizaines d'érudits ont étudié la puissance spirituelle, les capacités et l'histoire de l'arme, écrivant de véritables encyclopédies sur sa complexité et toute nuance. Le fait que ses pouvoirs aient permis au « Fantôme » de vivre plus de deux siècles au-delà de la moyenne d'un homme dans son état n'est rien de moins qu'étonnant, et beaucoup croient qu'il détient le secret de la vie allongée. La question de savoir si cela est vrai ou non fait l'objet d'un examen minutieux depuis des décennies, et aucune conclusion acceptable n'a été trouvée.

Prenant la forme d'un katana, ce Zanpakuto particulier ne semble pas si fantastique à première vue. La finition argentée propre a étonnamment peu d'usure compte tenu de l'utilisation qu'il voit sur le champ de bataille. La pression spirituelle massive de Kyoya remplit et répare constamment les entailles et les ruptures dans l'arme, le tout sans la méditation habituellement nécessaire pour de telles réparations. Mais en raison des coups vicieux qu'il peut avoir, les taches de sang et la saleté sont assez constantes, bien qu'une application rapide de l'énergie spirituelle autour de la lame de l'épée puisse vaporiser n'importe quelle matière et la rendre immaculée en un instant. Bien qu'il ne soit pas doué pour garder Yurei dans un état esthétique particulièrement bon, le moins qu'il pense qu'il devrait faire est de rendre son Zanpakuto confortable dans son propre saya. Il le garde en vie, après tout.

Contrairement à la plupart des katanas, l'arme de Kyoya n'a pas de tsuba. Au lieu de cela, le tsuka du Zanpakuto mène directement dans la lame acérée sans aucune forme de protection. Bien que beaucoup de Shinigami plus faibles et ceux qui n'ont pas de pouvoirs spirituels pourraient supposer que c'est un dessein dangereux, le Fantôme ne peut pas être si facilement blessé par sa propre épée. Le lien entre la pression spirituelle de lui et Yurei est si fort qu'une barrière presque impénétrable est créée entre les deux — c'est vrai pour la plupart des capitaines — et même s'emparer de la pointe ne produira aucune blessure. Il ne pèse également rien tant que Kyoya est celui qui le tient. C'est un autre membre qui fonctionne instinctivement à l'appel de son maître.

L'ito qui enveloppe le tsuka de Yurei est d’un violet profond et royal qui correspond aux yeux de Kyoya et à leur teinte vibrante. Un matériau noir repose sous cet emballage décoratif. Le contraste riche de ces deux couleurs rend la célèbre lame immédiatement reconnaissable à ceux qui suivent les exploits du « Fantôme ». Une conception spéciale permet à l'arme de transférer le choc intense des attaques puissantes de Kyoya à travers la poignée sans menacer les dommages structurels, ce qui est absolument nécessaire pour une telle arme axée sur le physique. Bien que le recul puisse atteindre les tendons de ses bras, portant et déchirant sa chair au fil du temps, ses visites constantes à la 4e Division permettent à ses blessures d'être traitées bien avant qu'elles ne se répandent pour devenir de graves problèmes.

Contrairement à beaucoup d'autres Capitaines et Lieutenants, Kyoya garde son Zanpakuto sur sa personne en tout temps, si oui ou non un état de guerre a été déclaré dans la Soul Society. Une fine ficelle brune faite de matériau incroyablement solide maintient cette coquette serrée contre son corps, enveloppant autour de son épaule, poitrine, et la taille supérieure. L'adhérence de la lame, bien qu'emmagasinée, se jette à droite de sa tête pour un retrait facile par sa main dominante.

Lorsqu'il manie Yurei pendant la guerre, un combat ou un entraînement, Kyoya le garde généralement tenu comme une arme à une main, favorisant son côté droit pour la cohérence et la force. Bien que ce genre de position simple et le style est quelque peu commun, Kyoya est un démon avec des balayages de base et des coupes qui ne nécessitent que quelques instants et une pensée minimale, ce qui le rend beaucoup plus efficace pour lui qu’il ne pourrait jamais être pour la plupart des autres épéistes. La force pure de ses frappes fait plus que compenser le manque de soin qu'il met dans les spécificités de sa technique. Son Zanpakuto n'a poursuivi sa réputation qu'en causant de graves dommages partout où il entre en contact, ce qui en fait l'une des lames les plus redoutées et respectées du Seireitei.


Aspect Shikai du Zanpakuto: Contrairement à la plupart des autres capitaines, en particulier ceux qui utilisent des tactiques très avancées, Kyoya est extrêmement rapide pour libérer la forme Shikai de son Zanpakuto, souvent en s'appuyant sur elle contre des adversaires bien en dessous de ses capacités, écrasant d'une manière qui semble tout à fait inutile. Pour lui, sa présence est une étape nécessaire pour accroître sa force et absolument s'assurer que son attaque est à son plus haut potentiel. Il lui est donc très difficile de comprendre pourquoi d'autres retiennent toute leur force jusqu'à présent dans la bataille, ou pourquoi certains capitaines gardent leurs capacités supérieures secrètes. L'idée de tactiques spécialisées et de désinformation est quelque chose qu'il comprend et accepte certainement, mais il peut être difficile pour lui d'empathie lorsque la retenue a joué un rôle si minuscule dans sa vie. Rien sur l'homme connu sous le nom de Kumo Kyoya ne peut être considéré comme subtil.

Kyoya a un lien profond avec Yurei, semblable aux liens que d'autres capitaines ont avec leur propre Zanpakuto, qui lui permet de contourner le commandement de libération et le rituel normalement requis pour entrer en Shikai. Il s'agit d'une occasion extrêmement rare où il va effectivement trouver un but pour passer par l'étape supplémentaire, qui ne donne qu'un petit coup de pouce dans le pouvoir, et il s'agit souvent d'intimidation contre des adversaires particulièrement importants. Si son arme est tirée et qu'il choisit de se libérer de cette façon, il commence par la remettre dans son fourreau, une étape qui est ignorée si l'arme n'a jamais été retirée de son fourreau. Il l'attrape alors avec sa main droite par-dessus son épaule et déclare tout en relâchant son énergie spirituelle :

Les mots métalliques résonnent à travers le ventilateur de Kyoya comme il tire son Zanpakuto de son saya. Une lumière blanche et violette brille de l'intérieur, changeant la forme de sa lame aussi rapidement qu'elle franchit le dessus et est touchée par l'air libre. Alors que l'adhérence de l'arme reste complètement inchangée, son épaisseur et son style passent d'un katana traditionnel à une machette, avec un tranchant plus large et plus droit qui fonctionne parfaitement avec le style de tranchage rapide et brutal que le Capitaine de la 3e division emploie. Cette augmentation de la surface ne commence qu'un peu plus d'un pouce au-dessus de la fin de l'adhérence, laissant un espace gênant où un tsuba serait normalement assis.

Bien que les capacités de son Shikai soient entièrement sous son contrôle mental, les adversaires perspicaces peuvent être en mesure de remarquer un léger déplacement de lumière autour de Yurei et Kyoya que sa pression spirituelle pointe rapidement, comme s'il s’estompait en quelque sorte à l’intérieur et hors de la réalité. Il s'agit d'une fenêtre sur les capacités de son Zanpakuto, mais il est seulement momentané et peut être incroyablement difficile à repérer sans connaissances préalables de ce qu'il faut rechercher. Ceux qui parviennent à avoir un aperçu de cette vue particulière peuvent mettre la main sur un léger avantage tactique, malheureusement, l'esprit de combat vicieux de Kyoya peut facilement rendre ces connaissances plutôt discutables. Seul le mélange parfait de tactique, de perception et de force peut permettre de prendre le dessus sur Kyoya.

La pression spirituelle immédiate libérée lors de l'activation du Shikai de Kyoya est monumentale. Les forces d'énergie qui explosent vers l'extérieur du Shinigam sont proportionnelles au poids que sa position détient et peuvent facilement souffler un simple Shinigami et un Hollow normal comme s'ils étaient du papier dans les vents d'un ouragan. Les Lieutenants se mettent en danger extrême s'ils restent dans cette aura de Reiatsu, bien que les plus forts de leurs rangs puissent résister à la pression assez longtemps pour s'échapper à une distance sûre. Les Capitaines, Espada, ou d'autres combattants extrêmement puissants, même avec leurs capacités incroyablement étonnantes, ont du mal à se baigner dans la cascade de la puissance spirituelle pendant trop longtemps sans renforcer leurs propres défenses. Ceux qui se trouvent incapables de garder cette énergie à distance sont rapidement ébranlés par des sentiments de mort imminente et de chagrin inimaginable, dépouillant la volonté de se battre, de se défendre ou, dans des cas extrêmes, de vivre.


Capacités du Shikai:

Mukei no ugoki (Déplacement Incorporel) : La capacité primaire de Yurei à n'importe quelle partie de Kyoya, et lui-même, de sortir progressivement du domaine matériel et dans un état incorporel. La matière physique, qu'elle soit faite de particules banales ou de Reishi, ne peut pas interagir activement avec quoi que ce soit de cette manière. Cela permet au « Fantôme » de passer à travers des matériaux solides comme s'il s'agissait d'un spectre — son homonyme en est dérivé — ou de contourner une parade afin de couper l'adversaire derrière lui. Il lui permet également d'esquiver de nombreuses formes de combat à distance en décolorant des parties de sa propre chair et le sang du monde corporel, toutes les parties du corps ou des éléments dans cet état sont identifiables par leur translucidité. En raison de la nature non interactive du matériel progressif et normal, Kyoya devrait, conceptuellement, tomber dans le sol ou, dans l'univers en expansion du royaume humain, fusée à travers le système solaire que l'espace se déplace autour de sa forme inchangée. Ce qui empêche cela de se produire est le fait que le Reiatsu, un état unique de l'énergie spirituelle, peut encore influencer les particules incorporelles. En contrôlant instinctivement la pression spirituelle autour de ses pieds, il peut effectivement rester en un seul endroit, flotter dans les airs, ou s'enfoncer dans le sol à n'importe quel rythme qu'il choisit. Ceci est similaire à la capacité que des Shinigami qualifiés peuvent utiliser pour planer dans l'air. Cette capacité d'être affectée signifie également que toute personne qui peut entourer leur arme physique / corps avec un Reiatsu plus fort que Kyoya, qui est ce qui crée l'effet en premier lieu, peut effectivement le couper ou bloquer ses frappes sans avoir à les chronométrer parfaitement. Heureusement, ces personnes sont extrêmement rares. Les attaques qui sont entièrement composées d'énergie spirituelle telles que les Zanapakuto de Feu, Cero, ou les capacités illusoires ne sont pas affectées par l'état transitoire du changement incorporel.


Nom de Bankai : Yurei, Zoki Niwa no Yasashii (Fantôme, l'Appel d'Offres du Jardin d'Organes)

Aspect Bankai du Zanpakuto : Infâme Bankai, Yûrei, Zôki Niwa no Yasashii confrère à Kyoya une incroyable vitesse pour libérer toute la force de son Zanpakuto, quelle que soit la force ou le nombre de ses ennemis. Son incroyable approvisionnement de Reiryoku rend cet état normalement tendu dans une sorte de seconde nature. Ce n'est que dans les cas extrêmes que le Bankai peut être appelé, car en général il ne l’utilise pas. Cependant, si la situation l’exige réellement, Kyoya commence rapidement la commande de libération pour libérer tout le potentiel de son redoutable Zanpakuto. Si la zone n'a pas été dégagée, il le fait, puis prend position avec seulement la lame de son arme progressivement dans son état incorporel. Avec ses yeux fantomatiques regardant vers le ciel, il glisse son épée sans danger à travers son ventilateur et dans sa gorge, produisant une lumière blanche et fredonnant comme une sorte de transformation commence dans sa poitrine. Une fois que le Zanpakuto est retiré de son corps, Kyoya revient à une position combative, déclarant:

La forme du Zanpakuto lui-même ne semble pas changer, malgré l'entrée du Fantôme dans la phase finale de la libération. Au lieu de cela, la lueur blanche fantomatique qui pulse sous sa poitrine commence à croître comme sa pression spirituelle bien au-delà des limites de la plupart des autres capitaines. Même le plus fort des lieutenants trouverait une telle pression fatale. Ce Reiatsu peut être si étonnant que les paysages peuvent commencer à pourrir et à se désintégrer, des forces déchirantes et isolantes de sa marque personnelle d'énergie spirituelle. Le tourment psychologique de la solitude et de la peur peut causer même le plus fidèle des guerriers d'être sur leur plus haute garde mentale.

En quelques instants, la lumière blanche dans la poitrine de Kyoya commence à se fendre et à se déplacer. Entre un et une douzaine d'orbes blancs de lumière incorporelle jaillissent de son torse, dissolvant l'avant de son uniforme et révélant les muscles pâles marqués sous lui. Ceux-ci semblent être les avatars matérialisés de Yûrei lui-même ; leur volonté, formes spirituelles flottent et dansant dans l'air tout comme les contes marécageux du monde humain. Leur silence étrange et leur lumière pâle les rendent aussi accueillants que les légendes l'expliquent, un effet psychologique exacerbé par les propriétés uniques du Reiatsu pourpre de Kyoya. Bien qu'ils ne puissent pas drainer la force vitale de leurs victimes comme le suggère la tradition, les rumeurs sont enclines à divertir l'idée. Rares sont ceux qui en ont témoigné assez longtemps pour corroborer ces idées.

L'absence de changements physiques extrêmes accompagnant la libération de Bankai de Yurei est inquiétante pour ceux qui connaissent les subtilités des Zanpakuto. Très rares sont les lames qui conservent leur taille ou deviennent plus petites une fois libérées, et ces épées sont connues pour être beaucoup plus puissantes qu'elles n'y paraissent. On ne sait pas si cette séparation distincte sera un jour considérée comme légitime. Il est beaucoup trop tôt pour le dire. L'immense pression spirituelle libérée par le «Fantôme» lui-même métitent certainement plus d'études, chose que Mayuri Kurotsuchi serait très enclin à observer. Le seul autre changement notable chez Kyoya est une augmentation de son rythme de respiration. Bien qu'il puisse facilement soutenir le Bankai grâce à son haut niveau d'énergie spirituelle, il taxe ses poumons à leur apogée, rendant l'utilisation de son ventilateur nécessaire pour qu'il puisse continuer à se battre. Sans elle, il commence à suffoquer, et son Zanpakuto se scellera afin de protéger son porteur de son propre corps. Cela est considéré comme une faiblesse incroyable par ceux qui le savent. Quiconque peut manipuler la technologie a un avantage extrême sur Kyoya, qui serait réduit à utiliser le Shikai si le système mécanique de soutien de sa respiration s’arrêtait. Jusqu'à ce point, cependant, personne n'est à l'abri de son Bankai, même si évidemment, il ne l’utilise que très rarement.

Capacités du Bankai:

Rasengan (Orbe Tourbillonnante): Chaque orbe incorporelle de lumière flottante contient une énergie spirituelle extrêmement concentrée. S'inspirant du flux constant de Reiatsu que leur maître génère, ceux-ci planent à des vitesses rapides dans un rayon de cent mètres grâce à l'utilisation de commandes mentales de base. La distance limitée existe afin de maintenir une connexion avec la source de leur pouvoir. Si Kyoya les dirige dans n'importe quel matériau corporel, fabriqué à partir de Reishi ou de particules mondaines, les liaisons d'énergie et les poches d'humidité qui tiennent la cible ensemble se drainent au fur et à mesure qu'elles se déplacent. Le résultat est soit une faiblesse structurelle, soit, dans le cas de la chair, de la dessiccation et de l'atrophie. Un simple passage travers les principaux organes de n'importe quel individu peut s'avérer fatale, et seule une pression spirituelle intense peut arrêter ces orbes d'envahir le corps. En raison de leur besoin de puiser dans l'énergie, Kyoya ne peut leur envoyer qu'une dizaine de mètres au-delà de sa portée avant qu'ils ne disparaissent, le forçant à se lâcher de l'intérieur de sa poitrine pour remplacer ceux qu'il a perdus. Cela prend de l'énergie supplémentaire et peut être taxant, de sorte que ces dernières sont généralement gardées près de lui, ce qui rend le combat au corps à corps avec le Capitaine beaucoup plus dangereux qu'il ne l'était déjà, un concept que peu peuvent à juste titre comprendre. Sa tendance à continuer à appuyer sur l'attaque à bout portant rend cette faiblesse particulière pertinente seulement pour ceux qui peuvent le surpasser. Garder une bonne partie de la distance entre eux et l'essaim est la meilleure défense, bien que les mouvements qualifiés et le contrôle fin Reiatsu peut compenser leur implication dans la bataille si le combattant est assez fort. À ce jour, seul Zaraki Kenpachi a parié sur cette stratégie et l’a vécu.

Monomane (Mimique): Une fois qu’un seul orbe a drainé suffisamment d'énergie et d'humidité d'un matériau animé ou inanimé, il peut changer sa forme pour imiter le Zanpakuto de Kyoya à volonté. Il peut alors devenir corporel ou ne pas être affecté par le monde physique. S'il continue à rester incorporel, il fonctionne un peu comme une version plus grande et plus longue de son ancienne forme. Il peut couper à travers le matériel physique et laisser une traînée de décadence flétrie derrière elle, atteignant essentiellement une zone plus mince mais plus variée, qui peut être mortelle lorsqu'il est utilisé contre une cible vivante pleine d'organes. Mais une fois qu'il devient corporel, ces lames agissent exactement comme n'importe quel autre matériau. Bien qu'ils restent blancs fantomatiques et apparemment faits de lumière, ils peuvent être parés, redirigés et brisés comme n'importe quelle autre lame. La plupart se demanderaient pourquoi Kyoya choisirait de transformer ses orbes dans cette forme plus faible, mais ces individus ne réalisent pas que les épées physiques ne sont plus affectées par le Reiatsu de l'adversaire. Ces nouveaux faux-Zanpakuto peuvent planer et couper sans être repoussés par des adversaires particulièrement forts, fournissant de nombreuses distractions pour que lui-même puisse porter des coups fatals. Ils sont également indépendants de leur ancien besoin de rester proches de la source de leur pouvoir. Bien que les lames incorporelles restent tributaires d'une source d'énergie, les solides ne le font pas, et ils peuvent suivre un ennemi en fuite aussi longtemps que Kyoya peut le localiser, qu’il soit visible ou par son reiatsu. Cependant, si la personne n’est plus dans son champ de vision et qu’il ne sent plus son reiatsu, les lames disparaissent.

Seishin no Kanakirigoe (Hurlement de l’esprit): Bien qu'il soit généralement contre l'utilisation d'attaques à longue portée, le Bankai de Kyoya est capable de lancer une attaque particulièrement efficace: le Seishin no Kanakirigoe. En combinant trois ou plusieurs de ses orbes, il peut les mélanger dans une plus grande boule de lumière contenant beaucoup plus de puissance destructrice. L'énergie combinée des orbes multiples permet au projectile de sortir de sa portée normale et de continuer pendant aussi longtemps que sa structure peut supporter. A chaque orbre supplémentaire augmente la portée. Trois combinés peuvent voyager trente mètres, et ainsi de suite. Cependant, Kyoya n'utilise cette technique que sur de longues distances lorsqu'il n'a absolument pas d'autre choix. Qu'il s'agisse d'une illusion, d'une vitesse inégalée ou d'une autre capacité unique qui le place dans une situation désavantageuse à courte portée, il n'est pas pertinent. L'utilisation la plus courante pour le Seishin no Kanakirigoe est une sorte d'attaque de style « fusil de chasse » de près. La taille et la puissance accrues de la combinaison d’orbes le rend incroyablement mortel à partir d'une telle distance intime, et de plus grands ennemis tels que des Menos Grande pourraient exiger de plus grands accents de dessiccation afin de les faire tomber. Bien que la vitesse et l'impact de cette application peut être grande, il est encore sous-utilisé, La force et la capacité de Kyoya avec le Zanjutsu sont beaucoup plus redoutables, ce qui en fait sa principale forme d'attaque, même lorsque cette technique pourrait être utile.




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