Sujet: Kioku Hada, une âme oubliée Ven 28 Déc - 2:11
~La vie telle que nous la vivons, telle que nous la connaissons
c'est d'abord la souffrance et le meurtre.~
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Kioku Hada
Nom : Né sans nom, sans identité, nul ne sait qui je suis.
Prénom : /
Pseudonyme : Il semble impossible d’évoluer dans ce monde lorsque rien ne nous y rattache. L’une des premières choses que les hommes font consiste à donner un nom à leurs enfants afin de les attacher à cette terre, afin de leur donner une identité, afin de donner un sens à leur vie. Longtemps je suis resté ainsi, sans aucun lien avec ce qui m’entourait, aujourd’hui, j’ignore toujours qui je suis, j’ignore toujours si ma vie a un sens, mais le nom que je me suis donné donne une réalité à mon existence… Je suis Kioku Hada…
Age : Le temps est passé depuis ce jour, cela fait tellement d’années… Comment pourrais-je le savoir… Au vue des marques sur mon visage, de la physionomie de mon corps, je dirai entre une vingtaine et une trentaine d’années…
Genre: Âme errante, ancien shinigami oublié
Grade désiré(division/etc) : /
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Description Physique : Une allure nonchalante, un air étourdit et perdu, Kioku n'est pas quelqu'un que l'on peut qualifié d'impressionnant et regorgeant de prestance. A première vue, on pourrait plutôt le considéré comme un enfant égaré, mais l'on se rend vite compte qu'au lieu de paraître effrayé et dérouté, celui ci s'étonne et s'émerveille de ce monde si étrange qui l'entoure.
Ce qui pourrait paraître effrayant chez cet individus, ce sont ses cicatrices, multiples, profondes. Si son âme semble être dépourvu de quelconques vices et tourments, son corps paraît les avoir endurés.
Attachés à ses cheveux, deux filament qui pendent jusqu'en bas de ses jambes, avec à leurs extrémités de fines lames affutées. A sa ceinture, se trouve une lame d'une cinquantaine de centimètres, sans aucune pouvoir particulier.
Une large cicatrice en croix dévore son visage, se rejoignant juste au dessous de son œil gauche. La raison qui rend cette cicatrice si particulière réside dans le fait qu'elle est la seule à perdurer dans le temps.
En effet, le jeune Hada en plus d'être amnésique, souffre d'un mal assez particulier, si son corps a la capacité de guérir plus vite que la plupart des mortels, celui ci garde aussi le souvenir de toutes les blessures qu'il a pu endurer, et très souvent les anciennes blessures se rouvrent, laissant jaillir des flots sanguinolents.
Voici la raison qui nous amène à parler des nombreux bandages qui parcourent le corps de cet éternel convalescent. Très peu souvent blanc, mais plutôt entachés de sang séché, ces bouts de tissus font depuis longtemps parti intégrante de son aspect physique.
Ces cicatrices tout comme ses pansements représentent nous seulement des blessures, mais aussi ce qu'est Kioku dans son être profond, un être déchiré, instable, qui tente malgré le destin de se reconstruire.
C'est somme toute ce qui le pousse inconsciemment à porter ces masques étranges lorsqu'il vient à combattre, c'est la raison pour laquelle il se cache derrière ces bouts d'argiles... Que l'on oublie qui il est, que son passé s'efface comme il l'a été auparavant, mais en emportant cette fois avec lui, toutes ses blessures.
Description Morale :
Aussi loin qu'il s'en souvienne, Kioku a toujours marché dans l'obscurité, sans but réel, sans existence propre. Né seul, entouré de cadavres, sans nul autre mémoire que celle de sa chair lacérée, le jeune homme pourrait vouloir fuir ce monde qui est si destructeur envers lui, mais il n'en est rien. Cet éternel convalescent s'étonne et s'amuse de toutes les banalités de ce monde, que bien des gens ne savent plus voir. Les perpétuelles blessures qui recouvrent son corps, les bandages qui les surplombe, cette souffrance quotidienne a apprit à Hada à omettre, ou plutôt atténuer certaines douleurs, qu'elles soient physiques ou morales.
Personnage ignorant des lois de ce monde, ce nouveau né paraît être ce que certains pourraient appeler 'quelqu'un de naïf', et ceux ci n'auraient pas tord car même s'il sait apprendre de ses erreurs, le jeune homme ne comprend pas ce que l'on pourrait appeler, le vice des hommes.
Histoire du personnage
Histoire : Certains disent que la naissance est l’un des instants les plus douloureux que vit l’homme, même si il ne se rappellera jamais de ces instants… Que devrait-il répondre à ces hommes sinon qu’ils ont raison, tout du moins en partie… Ce souvenir est gravé en lui, dans sa chair et dans son âme.
Le noir complet, un sifflement quasiment inaudible... Il sentait cette chose rentrer en lui, dans ses narines et dans ses oreilles, couler le long de sa gorge. C’était comme si son être s’enfonçait peu à peu. Sa venu au monde était ainsi faite, il ne voyait, n’entendait, ni ne sentait rien. La seule et unique chose qui lui prouvait son existence, c’était cette douleur. Était ce cela que d’exister… Comment décrire ses sentiments à ce moment là, alors que cette pauvre chose n’avait nullement conscience de ce qu’elle était, ni même conscience d’être quelque chose. Tout ce que cet être ressentait était cette souffrance qui parcourait la totalité de son corps, ainsi que cette impression étrange de manquer de quelque chose, comme si ce qui s’écoulait dans sa gorge ne devait pas y être, mais laisser la place à autre chose.
Avant même de prendre conscience qu’il existait, ce fut son corps qui de lui-même, par instinct de survit, le poussa à se basculer de coté et à se retourner. Les yeux toujours fermés, l’homme était étendu sur le dos, crachant et toussant alors ce qui lui obstruait la gorge, afin de faire rentrer le précieux air. Celui ressenti alors cette nouvelle sensation, qui ne le quitta quasiment pas pendant un moment. Quelque chose semblait le toucher, c’était froid, c'était bien différent de cette douleur qui tenaillait sa chair. Cette pluie froide qui tombait sur son corps et son visage fut la première chose agréable qu’il vécu.
Étrangement et sans savoir pourquoi, l'homme essaya d’ouvrir les yeux. Mais il n'y parvint pas directement. Ce ne fut qu’après quelques minutes que l’eau nettoya le sang séché, mêlé de boue qui gardait fermé ses orifices.
Tout lui parut alors si clair… Un ciel gris, empli de nuage le surplombait, lâchant des milliers de mètres cube d’eau à des centaines de kilomètres à la ronde, néanmoins, c’était comme s'il s’était trouvé devant une chaleur bienfaitrice.
Le nouveau né mit plusieurs heures encore à prendre conscience de son propre corps, découvrant que celui ci n’était pas que synonyme de douleur, mais aussi de mobilité. Peu à peu ce ciel gris s’élargit et il put commencer la découverte de ce monde.
Toujours allongé sur le sol, les mouvements de sa tête lui permirent de voir qu’il n’était pas seul par terre… Autour de lui, des centaines d’êtres gisaient…. Etaient-ils comme lui… Comment même savait-il qu'il était comparable à eux, qu'ils étaient quelque chose, l'instinct peut être... L’individus devait savoir et essaya donc de se servir de ce corps pour se mouvoir.
A partir du moment où la chose comprit que ses membres servaient à se déplacer, elle mit très peu de temps à adopter une démarche encore très proche de celle actuelle, commune à tout homme.
Chacun de ses mouvements semblait néanmoins entravé par la souffrance, et alors que le corps mutilé se penchait ou tentait de prendre quelque chose, le blessé ressentait une douleur immense, des flots de liquide rougeâtre en coulèrent. Le premier son qui sorti de sa bouche fut un hurlement de douleur.
Après plusieurs heures à errer dans ce village de ruine, l’homme comprit que ceux qui étaient à ses cotés étaient fondamentalement différents de lui, car s’il avait commencé à exister, eux avaient cessé ici même. Eux aussi étaient couverts de ce liquide séché, leurs corps étaient recouverts de cavités d’où il avait pu sortir… La pluie battante avait nettoyé son corps de la boue qui le recouvrait, mais le sang lui, coulait toujours de quelques blessures, mais plus pour bien longtemps. Quelque chose attira alors son attention.
Un des bâtiments, partiellement brûlé, voyait appuyé sur l’un de ses murs un tas de masques pour enfants, sans doute étaient-ils sur une étagère qui s’était effondrée. Alors qu’il approchait, l’individu vit ce qui avait vraisemblablement fait tomber l’étagère. Il s’agissait d’un homme à demi couché sur les masques, appuyer lui aussi sur le mur.
Son cadavre dégageait une odeur insupportable comparable à de la viande carbonisée. Lorsqu’il prit le masque brisé qui recouvrait son visage, une partie de la chair resta accrochée à celui-ci, laissant dégouliner du sang à demi putréfié.
Le visage de cet homme était complètement lacéré, brûlé, il n’avait plus rien en commun avec ceux qui gisait dehors, mais ce qui ce choqua le plus le jeune homme, ce fut ce masque… Il enlevait toute identité, toute existence à celui qui le portait, même s’il était brisé.
Le survivant restait là pendant plusieurs jours, fouillant dans les décombres, observant les cadavres, voulant comprendre pourquoi il était là. Lorsqu’il fut lassé de ces lieux, le convalescent prit les restants de tissus qui couvraient partiellement son corps et y mit un certain nombre de masques brisés, qui l’accompagnèrent tout au long de son voyage.
~Et nul ne se connaît
tant qu'il n'a pas souffert.~
Musset
Test RP : (Les deux tests ne se suivent pas vraiment et n'ont pas un lien direct). 1ère partie ~Satori~
Qu'est ce que le temps... Depuis quand errait-il ainsi de part et d'autre du Rukongaï...
Kioku commençait tout juste à prendre conscience que le monde qui l'entourait était remplit de question, d'interrogations auxquelles les hommes étaient soumis.
Depuis son réveil, il s'était senti étranger dans ce monde. Au milieu des cadavres, lui seul s'était relevé sous la pluie battante.. Inconsciemment, le jeune homme aurait souhaité que l'un d'eux s'éveille à son tour, que l'un d'eux rompe le silence si oppressant, cassé par le seul rythme de la pluie qui venait se fracasser sur les toits encore fumants des cabanons en ruine.
Lorsqu'il errait dans le vaste Rukongaï, il découvrit que ce monde était tout comme lui animé, qu'une multitude d'êtres, qu'ils soient comme lui ou non, le fuyaient lorsqu'il les approchait. La première fois que Hada eut un réel contact avec des semblables, il se réveilla une fois de plus dans un bain de sang, laissé pour mort par les bandits, la pluie battante nettoyait une fois de plus ses blessures, elle qui semblait être comme une douce mère à son égard. Il en fut ainsi pendant des années, Kioku marcha sans cesse, rencontra ici et là des individus qui lui prêtèrent plus ou moins d'attention.
Le vagabond découvrit peu à peu ce dont était fait ce monde, sans vraiment en comprendre les subtilités. Avait il jamais eu une place ici.
Petit à petit, il réapprit à comprendre les mots de ceux qu'il croisait et à les imiter. Néanmoins, pendant tout ce temps, rien ne changea, Kioku avançait dans l'infini, ne comprenant pas ce qu'il était, ne cherchant vraisemblablement pas à le découvrir.
Sa vie ne se résuma qu'à cela, marcher sans cesse, mais aussi soigner ses plaies qui se rouvraient, continuellement, sans que personne ne le comprenne.
Le convalescent ne se demandait pas lui même pourquoi les choses étaient ainsi, après tout, ces blessures étaient la seule chose qui lui prouvait qu'il existait.
2ème partie ~Kyojun Bohi~
~Il n'y a rien de définitif en nous, et qu'il est vain et futile d'essayer de rechercher qui on est :
on ne découvrira jamais qui on est, ce qu'il faut c'est découvrir où on veut aller, ce qui est beaucoup plus intéressant.~
Un vent chaud venu du Sud faisait plier les fines branches des arbres, faisant virevolter leurs feuilles desséchées qui mourantes, finissaient par se détacher et tomber doucement par terre. Le sol était sec et la terre laissait apparaître des gerçures en son sein, des touffes d'herbes parsemées ici et là sortaient adoptant petit à petit la couleur du sol.
Des kilomètres en arrière, il n'y avait rien, pas la moindre forme de vie qui puisse être comparée à un être humain. Un lézard s'arrêta devant cette ombre qui s'approchait de lui, comme sortie de nul part. Le reptile la fixa pendant une seconde de ses grands yeux sombres, puis se détourna et alla se cacher dans un petit amoncellement de pierres au bord de ce qui semblait être un chemin.
L'individu resta ainsi pendant plusieurs minutes, à fixer ce piètre sentier, formé par le simple passage d'êtres sur celui-ci. Puis se décida à repartir, d'un pas certains et rapide.
Ainsi, le vagabond s'était une fois de plus rapproché de la civilisation et sa longue traversée du désert allait s'achever. Il sourit, depuis son éveil, il avait toujours voyagé ici et là afin de découvrir ce monde, dans un sens, il avait pu voir et observer bien plus de choses que la plupart des êtres ici.
Si ce voyage dans les profondeurs du désert l'avait grandi, Kioku n'en était pas moins heureux de retrouver une part de vie après une errance si prolongée.
Lui même n'aurait pu dire depuis combien de temps il était parti et à vrai dire s'en souciait peu.
Aussi loin qu'il se souvienne, l'âme n'avait jamais vraiment cerner cette notion de temps et même lorsqu'il parvenait à comprendre aisément la plupart des mots qui peuvent être utilisés dans le langage humain, le ''temps'' était longtemps resté un non sens. Après tout, comment pouvait-on qualifier, évaluer, quantifier quelque chose d'aussi subjectif et inné que le temps. Ces minutes, comme ils les appelaient tous, pouvaient parfois se rallonger ou se raccourcir, chaque seconde qui la remplissait, malgré le fait qu'elle représentait une unité fixe, semblait être variable selon la manière dont on l'appréhendait, selon les occupations auxquelles on vaquait.
Hada pouvait comprendre avec facilité que l'on veuille mesurer une distance qui sépare deux points, c'était une notion tout à fait abordable et compréhensive, mais le temps... Cette réalité, cette texture que les gens essaie de lui donner. Ils se fixent des règles sur quelque chose qui n'est pas. Chaque seconde compte et chaque choses de la vie, action, événement, doit être placée et située sur cette unité de mesure. Le temps devient peu à peu un outil de vie, qui doit être apprivoisé puis maîtrisé, comme s'il avait s'agit d'une bête de somme. Alors qu'il aurait du être un instrument de plaisir, il s'était transformé en une contrainte.
Le vagabond lui ne percevait pas l'utilité de cette recherche de maîtrise, après tout, c'était comme vouloir s'accaparer les pouvoirs du vent. On a beau construire des bâtiments capables de percevoir ça force, le vent n'en reste pas moins maître de lui même, s'il veut se calmer, les hélices ne tourneront plus, a contrario, elles peuvent être réduites en pièce si son désir est de les voir tomber. A l'instar du temps.
L'Homme a beau essayer de s'accaparer la force des choses, il n'en ai pas moins qu'une futile chose qui ne gère que ce que la force de la nature veut bien lui laisser.
Le soleil toucha deux fois l'horizon avant que l'homme ne rende compte du chemin qu'il avait fait. Perdu dans ses pensées, Kioku n'avait pas réalisé qu'il se trouvait au beau milieu d'un village, alors que l'astre levant marquait le sol de son ombre. Au loin, on apercevait quelque chose qui lui était totalement inconnu, de grande pointes de pierre se dressaient vers le ciel, leur base était cachée par un immense mur. Pour la première fois, l'ancien shinigami redécouvrait le Seireitei.
~J'ai reçu la vie comme une blessure
et j'ai défendu au suicide de guérir la cicatrice ~
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Description de l'arme ou du pouvoir :
Même si tout le monde l'ignore et lui le premier, Kioku était avant son amnésie un shinigami de la 2ème division, bien des années auparavant. Ancien siège de la 4ème division, son pouvoir était à l'origine utilisé pour ses vertus thérapeutiques, néanmoins, les forces assassines lui trouvèrent une fonction un peu plus meurtrière.
Le nom de son zanpakuto: Kurage. La phrase de libération, ''Piques, Kurage''. Sa particularité première, son pouvoir. S'il a été autant convoité par deux division, que ce soit dans la guérison ou dans le meurtre, c'est parce que le pouvoir de ce Zanpakuto réside dans ses capacités très semblables à celles des méduses. Turritopsis nutricula, dans le monde connu, il s'agit du seul et unique animal connu qui soit immortel.
Même si Kioku ne bénéficie pas de leur pouvoir de transdifférenciation , il a tout de même l'avantage de guérir plus vite que la plupart des gens, mais aussi de faire guérir les autres grâce aux deux filaments qui sont attachés à ses cheveux lorsque le pouvoir est libéré. Ceux ci ont en leurs extrémités de fines lame comparables à des lames chirurgicales. Toutes ces guérisons ne sont bien entendu par miraculeuses et sont couteuses en énergie et en temps.
Le deuxième pouvoir du shinigami, convoité par la deuxième division, autant du point de vue de l'assassinat que de la torture, pourrait être comparable dans la capacité urticante de la méduse, mais en est néanmoins très éloignée. Imaginer un combattant, fort, courageux, ayant combattu maintes et maintes fois, mais ayant essuyés de multiples blessures par le passé. Imaginer que lorsque les lames de Kurage touche une cicatrice, celle ci se rouvre...
Ainsi fonctionne le pouvoir de Kurage, la peau a une mémoire et son pouvoir la réveille.
Admettons qu'un coup de sa fine lame traverse deux cicatrices, l'une est traversée à un centimètre de profondeur, l'autre juste égratignée. Chacune ne pourra se rouvrir que dans la proportion dans laquelle elle a été traversée. De ce fait, la première se rouvrira d'un centimètre, et la seconde légèrement. Ce en prenant en compte qu'une ancienne blessure ne peut être plus ouverte qu'à son origine et que seules les blessures directement touchés sont en proie au pouvoir. Si deux cicatrices se croisent, et qu'une est touchée, seul celle là sera 'infectée', étant donné qu'elles sont fondamentalement différente.
La particularité dont souffre le plus Kioku réside dans la fait que Kurage est en Shikaï permanent, à la manière de Zangetsu ou du zanpakuto du capitaine Kenpachi. Ne le maîtrisant plus, ne se doutant même pas de cette dualité d'âme dans son être, Hada souffre quotidiennement d'un pouvoir qu'il ne maîtrise pas et qui peut se retourner contre lui à tous moment.
Il est tout aussi évident que l'ancien shinigami ne maîtrise plus aucune technique de kido.
Un peu de vous
Comment avez-vous connu le forum ? : Hum.. ai oublié ...
Quelle est votre expérience dans le rp ? : Quelques années
Quelque chose de particulier à dire ? :
Les descriptions sont courtes, je le conçois, mais ce n'est pas ma tasse de thé !
Souhaitez vous que votre présentation soit publique ou masquée ? :
publique ça me va.. u_u
Suzaku Egao
Sujet: Re: Kioku Hada, une âme oubliée Ven 28 Déc - 2:47
Aussitôt postée, aussitôt commentée ! Bon bah après lecture de cette fiche je dois dire que c'est vraiment très bof, sans aucune profondeur, aucun style et tellement remplie de fautes que j'ai perdu la vue d'un œil !
Non, je rigole bien entendu. Comme je m'en doutais je ne vois aucune raison de ne pas valider cette fiche. Le perso est original, sa réflexion sur le monde me plait, son côté ermite et sage lui donne un certain charme. Les pouvoirs sont plutôt sympas, j'aime bien le concept (avec en plus la comparaison avec la méduse) par contre j'aimerais juste savoir si j'ai bien compris quelque chose : ton perso est un shinigami mais en perdant la mémoire il a oublié qu'il l'était mais se sert toujours des pouvoirs de son zanpakuto c'est bien ça ?
Il y a quelques fautes qui traînent, qui parfois compliquent un peu la lecture mais c'est pas un problème (je le sais pour rp avec toi depuis un moment, jamais eu de soucis).
Bref, j'ai beau cherché j'arrive pas à remplir plus x) alors parlons peu mais parlons bien je vais arrêter de brasser de l'air et comme tu t'en doutes je te donne ma voix !
Invité
Sujet: Re: Kioku Hada, une âme oubliée Lun 28 Jan - 20:24
Niveau perso torturé, tu continues dans ta lancée =D.
Good fiche, par contre pour le shikaï permanent, j'en vois pas trop l'utilité.
Dernière édition par Rangiku Matsumoto le Mar 29 Jan - 0:21, édité 1 fois
Kioku Hada
Sujet: Re: Kioku Hada, une âme oubliée Lun 28 Jan - 22:17
Pourquoi un shikai permanent ? Tout simplement parce qu'il ne sait pas qu'il était shinigami, de ce fait, comment saurait-il communiquer avec son zanpa et le libérer ?^^
Invité
Sujet: Re: Kioku Hada, une âme oubliée Lun 28 Jan - 22:38
Been à mon sens, y'a un soucis à ce niveau x).
Ton perso avait même oublié ce que c'était que marcher, mais il se rappellerait de son zanpakutô, ça me parait assez bizarre. A la rigueur qu'il le redécouvre, ça serait peut-être mieux non ?
EDIT : et puis le shikaï permanent, seul Ichigo et Zaraki l'ont car reiatsu illimité ^^.
Invité
Sujet: Re: Kioku Hada, une âme oubliée Mar 29 Jan - 0:24
Du coup, réflexion aidée faite, pour l'instant je valide pas ta fiche ^^. Le shikaï permanent c'est beaucoup trop je trouve, et le fait qu'il se rappelle des pouvoirs, ça pose quand même un problème par rapport à ton histoire.
A voir !
Yazooru Senzo
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Sujet: Re: Kioku Hada, une âme oubliée Mar 29 Jan - 0:51
Ai je dis qu'il se rappelait de ses pouvoirs ? :)
Invité
Sujet: Re: Kioku Hada, une âme oubliée Mar 29 Jan - 0:53
Kioku Hada a écrit:
Pourquoi un shikai permanent ? Tout simplement parce qu'il ne sait pas qu'il était shinigami, de ce fait, comment saurait-il communiquer avec son zanpa et le libérer ?^^
C'est pas ce que ça veut dire en fait ? x)
Yazooru Senzo
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Sujet: Re: Kioku Hada, une âme oubliée Mar 29 Jan - 1:26
il doit y avoir quiproquo^^
Justement, il ne se souvient pas de son passé, donc ne se souvient pas du fait d'avoir été shinigami. Ses pouvoirs il apprend à les réutiliser comme un apprendra à marcher à nouveau. Ces dons (cette malédiction) il ne se l'explique même pas en fait. Je t'avouerai qu'en passant à un shikai permanent, j'étais loin de penser qu'on ferait un rapprochement avec une quantité d'énergie énorme. Le but était surtout de pouvoir me servir d'un pouvoir sans me souvenir de son origine et surtout d'expliquer les petits tracas sanglants que kioku subirait^^
Invité
Sujet: Re: Kioku Hada, une âme oubliée Mar 29 Jan - 1:37
Ben du coup ce que je trouve étrange, c'est qu'il puisse utiliser son pouvoir sans refaire la connexion avec son zanpakutô... Enfin, je vois pas comment ça pourrait se faire ^^ (ça c'est jamais vu en tout cas).
Pour le shikaï permanent, il l'est quand le perso est assez endurant pour le maintenir ^^. Enfin, il me semble !
Yazooru Senzo
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Sujet: Re: Kioku Hada, une âme oubliée Mar 29 Jan - 1:39
ben zaraki est en shikai permanent sans vraiment avoir conscience de son pouvoir non ?
Invité
Sujet: Re: Kioku Hada, une âme oubliée Mar 29 Jan - 1:43
Ben ça c'est encore le grand mystère de Bleach mais il n'empêche qu'il a la capacité de le maintenir ^^. Pas le cas de la trèèèès grande majorité des shinigami, y compris parmi les capitaines.
Yazooru Senzo
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Sujet: Re: Kioku Hada, une âme oubliée Mar 29 Jan - 1:58
Après moi comme je te dis, cet aspect me permet uniquement de justifier son pouvoir et sa malédiction, absolument pas de la puissance à outrance. Je t'avouerai que sans cet aspect, le personnage perd beaucoup d'intérêt à mes yeux^^
Invité
Sujet: Re: Kioku Hada, une âme oubliée Mar 29 Jan - 21:06
Je comprends bien que ça puisse t'arranger de le voir comme ça, mais si un nouveau membre me sortait une fiche comme la tienne, je lui dirais la même chose...
Certes il te permet de justifier la malédiction, mais il n'empêche que pour maintenir un shikaï, il faut en avoir dans le pantalon x).
Dans ce cas-là, serait-on prêt à accepter un membre en mode bankaï illimité, simplement parce que ça arrange l'histoire du joueur ? ^^
Yazooru Senzo
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Sujet: Re: Kioku Hada, une âme oubliée Mar 29 Jan - 22:54
Dans le cas d'un nouveau membre, des limites sont émises pour éviter des abus. Comme tout les anciens membres, d'autant plus que nous avons rp pas mal de fois ensemble, tu connais ma façon de faire et sait (je l'espère) que je vais pas forcement faire le grosbill, d'autant plus sur un aspect que je n'avais pas envisagé^^
Après à toi de voir, j'ai soumis ma fiche à votre jugement !
Invité
Sujet: Re: Kioku Hada, une âme oubliée Mer 30 Jan - 0:47
Baaah je sais bien que tu veux pas forcément faire le grosbill avec, mais le principe reste le même je trouve ^^.
Je reste sur mon point de vue, désolée, laissons encore à Ichigo le shikaï permanent, c'est la seule chose qui le mette en valeur x).
Après je ne comprends pas trop pourquoi c'est si important pour ton personnage ^^.
Yazooru Senzo
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Sujet: Re: Kioku Hada, une âme oubliée Mer 30 Jan - 2:30
Qu'il sache d'où lui viennent tout ses pouvoirs enlève un sens au perso, qui est "innocent", ignorant. De plus, cela explique que son pouvoir se retourne contre lui en réouvrant ses plaies. Il a donc ses cicatrices d'une vie qu'il ne connait pas et ne comprendrait pas de toute façon mais sans pouvoir s'y rattacher de quelque manière que ce soit.
Après justement je peux toujours souligner le fait que son manque de puissance cause l'instabilité de son shikai permanent. Son zanpakuto s'étant ainsi éveillé afin de protéger son propriétaire des autres et de lui même.
Sujet: Re: Kioku Hada, une âme oubliée Mer 30 Jan - 16:50
Bah on pourrait dire que cette instabilité est causée par ledit manque de puissance. Il se maintiendrait éveillé grâce aux personnes soignées où dont il a réanimée les blessures et quand il n'a pas eu de "proie" depuis un moment il doit se retourner contre son possesseur pour rester éveillé non ?
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Sujet: Re: Kioku Hada, une âme oubliée
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